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 all my scars are open + sebastien

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MessageSujet: all my scars are open + sebastien all my scars are open + sebastien  EmptyJeu 23 Avr - 20:56



save me from this darkness





Quatorze jours. Ça faisait quatorze jour qu'elle s'était réveillée de ses trois jours de coma. Quatorze jours qu'elle était à l'hôpital. Elle était confrontée à énormément d'adultes depuis qu'elle avait reprit connaissance, elle avait été interrogée par la police, par les médecins, les infirmiers, par un psychiatre, et enfin une assistante sociale. Seulement, elle n'avait encore réussit à parler à personne, elle n'avait prononcé aucun mot et se contentait d'hocher la tête positivement ou négativement, ce qui rendait le dialogue difficile. La seule personne avec qui elle arrivait à parler était un infirmier, Louys. C'était la première personne qu'elle avait vu après son réveil, et le jeune homme avait été d'une tendresse exemplaire avec elle, alors elle avait commencé à tisser un lien avec l'infirmier, il avait même dessiné sur le plâtre qui entourait le bras de la petite fille, et il s'était débrouillé pour que son doudou soit nettoyé et recousu. C'était la seule personne qui avait eu le droit aux paroles de la petite, le reste du temps elle était muette, incapable de décrocher la moindre syllabe. C'était un mécanisme de défense fréquent chez les enfants maltraités. Elle avait peur, sans cesse, tout le monde lui posait des questions mais personne n'était là pour répondre aux siennes, elle avait l'impression que personne ne voulait l'écouter à part Louys. Son mutisme n'était pas le seul problème, elle ne s'alimentait pas ou que très peu, les premiers jours elle avaler les quelques gâteaux que lui apportait Louys, mais petit à petit elle a même commencé à refuser les friandises, elle s'était retrouvée perfuser une nouvelle fois, comme lorsqu'elle était dans le coma. Mais elle ne ressentait jamais le besoin de manger, elle avait peur que les médecins se fâchent contre elle, mais rien ni personne ne pouvait l'obliger à manger. Elle avait toujours eu un rapport assez compliqué avec la nourriture, son père la punissait souvent de repas, ou oublier tout simplement de lui en préparer un, alors elle ne mangeait que le midi, quand elle était à l'école, et parfois elle allait chercher de quoi grignoter dans le réfrigérateur, sauf qu'il n'était souvent rempli que de bières. Sa malnutrition faisait d'elle une enfant chétive, elle avait un retard de croissance, et était excessivement maigre, mais elle n'avait jamais eu l'habitude de manger deux repas à trois repas par jour, alors les assiettes de l'hôpital lui paraissaient immense, et ça la bloquait complètement. Son dossier médical était rempli d'autant de problèmes physiques que psychologiques, les coups de son père n'avaient pas seulement brisés ses os mais aussi son âme d'enfant, et le chemin allait être long et délicat avant de retrouver une vie normale. Même son sommeil en était altéré, elle souffrait d'insomnies et de terreurs nocturnes, chaque fois qu'elle parvenait à enfin à s'endormir, ses cauchemars refaisaient surfaces, la réveillant dans des hurlements de terreurs. S'en suivait une crise d'angoisse qui pouvait duré des dizaines de minutes, généralement une infirmière venait la voir, et elle finissait sa nuit avec le personnel hospitalier du services dans lequel elle était. Elle ne se sent pas en sécurité lorsqu'il y a trop de monde autour d'elle, mais paradoxalement elle est terrorisée quand elle se retrouve seule. Elle a peur que son géniteur réapparaisse, qu'il vienne lui faire du mal, encore.
Elle s'était endormie cette nuit, vers cinq heures du matin, dans la salle de pause des infirmières. Une jeune infirmière l'avait reposée dans son lit à la fin de son service, veillant à ce qu'elle ne se réveille pas. Winnie étant pupille de l'état, elle n'avait pas de parents pour venir la réconforter ou l'aider à surmonter ce qu'elle vivait, alors les infirmières s'étaient toutes prise d'une affection particulière pour la fillette, elle passait souvent dans leur salle de pause, même si elle ne leur parlait pas, elle restait là assise avec elle, à les écouter. Parfois elle dessinait, ou elle jouait avec un rubicube qui trainait là. Mais elle se sentait plus en sécurité avec les infirmiers et les infirmières que seule dans sa chambre. Aujourd'hui, elle avait rendez-vous avec le psychiatre. Pour qu'elle sorte de l'hôpital, il fallait un rapport favorable du médecin, mais aussi du psychiatre qui s'occupait d'elle. Ses blessures physiques ne nécessitait plus qu'elle reste à l'hôpital, mais son instabilité psychologique l'y contraignait. Et tant qu'elle refusait de manger, et qu'elle refusait de parler, son psychiatre ne pouvait pas la laisser partir. Une infirmière vint la chercher, pour lui dire qu'il était l'heure qu'elle aille voir le docteur Zola, elle ne broncha pas et attrapa son doudou, avant de suivre l'infirmière jusque dans la salle d'attente du docteur. Il y avait une jeune femme assise prêt de la fenêtre, Winnie décida de s'asseoir un peu plus loin, sans dire un mot. C'était plus facile pour elle de ne pas parler du tout, insolemment, elle savait que si elle parlait à tout le monde, on lui demanderait d'expliquer tout ce que faisait son père, et elle n'avait aucune envie d'aborder le sujet. C'était un mélange de crainte et de honte, elle avait peur de devoir se replonger dans son passé qui la terrorisait tant, et elle avait honte parce qu'elle était toujours persuadée qu'elle était la seule responsable de la situation. Que ce n'était pas une petite fille assez bien. Alors au lieu de dire qu'elle ne voulait pas en parler et de devoir se justifier, elle s'enterrait dans un mutisme que le psychiatre tentait de combattre. La jeune femme assise un peu plus loin ne cessait de la regarder, elle devait certainement se demander ce qu'une fillette comme Winnie faisait là, seule. La salle d'attente était dédiée à deux psychiatres, l'inconnue devait certainement attendre son tour avec le confrère de l'homme qui s'occupait de Winnie. C'est vrai que la plupart des enfants qui vont chez le psychiatre sont entouré de leur parent, et c'est vrai aussi que voir une fillette de huit ans avec le contour de l'oeil encore violacée, et deux cicatrices encore mal résorbée sur le visage pouvait sembler curieux. Mais la petite se sentait gênée, elle n'aimait pas qu'on la regarde, elle n'aimait pas être différente. Elle voulait être comme toutes les autres petites filles. La porte de gauche, celle du docteur Zola, s'ouvrit enfin. Le grincement de cette dernière fit sursauter, comme toujours, Winnie. Il y avait certain bruit, certaine situation, qui la faisait encore sursauter, et les portes qui s'ouvrent bruyamment faisaient partis de ces situations. L'homme l'invita à entrer, elle empoigna son doudou et entra dans la pièce. Les premières minutes étaient toujours une étape très stressante pour la petite, elle ne se sentait pas rassurée avec les hommes, ils lui rappelaient tous son père, et ça la terrorisée, malgré le fait qu'elle avait déjà été confrontée au Docteur Zola pendant plusieurs séances -infructueuses-, elle ne se sentait toujours pas rassurée. Son petit corps maigre se tenait debout, au milieu de la pièce, serrant son doudou contre sa poitrine, attendant les instructions. Elle détestait être là.  
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MessageSujet: Re: all my scars are open + sebastien all my scars are open + sebastien  EmptyVen 24 Avr - 5:28


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Ma journée de travail s'annonce particulièrement difficile. Je dois rencontrer une de mes plus jeunes patientes et son histoire me déchire le coeur à chaque fois que mes yeux se posent sur elle. Une toute petite fille de huit ans déjà bien abîmée par la vie, un père violent en est la principale cause. Je ne l'ai pas appris par la bouche de ma jeune patiente, mais bien par mes confrères médecins ainsi que par la police. Son père la frappé une fois de trop et elle c'est retrouvée dans le coma pendant trois jours. Depuis son réveil, je dois la suivre et tenter de l'aider le mieux que je peux. Une chose qui est plutôt ardu quand la jeune demoiselle semble avoir peur de moi et ne dit aucunes paroles. Comment peut-on lever la main sur son propre enfant? En tant que parents tu dois protéger ta progéniture et l'aimer. Je pousse un profond soupir tandis que je ferme le dossier -déjà bien épais- de Winnie. Comment je pourrais gagner sa confiance? C'est l'étape que je n'ai pas encore réussi à atteindre avec elle. C'est pourquoi qu'elle ne peut malheureusement pas quitter l'hôpital et cela même si ses blessures physiques sont presque toutes résorbées. 

Je dépose sur la table basse des crayons de couleurs ainsi que plusieurs feuilles de papier. Quelques jouets rejoignent la panoplies des crayons de couleurs. Un des infirmiers m'a prêté un cube rubik me disant que Winnie aimait bien jouer avec dans la salle de garde. Je glisse une main dans mes cheveux déjà bien en bataille avant d'ouvrir la porte de mon bureau pour inviter la jeune demoiselle a y entrer. Je pose mon regard sur la petite fille qui attends sagement dans la salle d'attente. Son visage porte encore les marques de violence, je l'invite à venir me rejoindre en lui souriant le plus chaleureusement possible. Elle prends son doudou, qu'elle serre fort contre sa poitrine avant de se glisser à l'intérieur de ma salle de consultation. Je referme doucement la porte, car je sais que les bruits brusque lui font peur. Elle attends au milieu de la pièce sans savoir quoi faire. 

- Tu peux t'installer sur la petite chaise tout près de la table basse.

Une petite chaise en plastique rose Hello Kitty que je me suis procuré dans un magasin de jouet. Les petites filles aiment le rose non? Hello Kitty est très à la mode aussi, enfin c'est ce que la vendeuse m'a dit. Je m'installe à même le sol tout près de Winnie sans pourtant envahir son espace. Je ne veux pas lui faire peur et encore moins la brusquer.  Je tire une feuille de papier vers moi et prends quelques crayons de couleur. Je n'ai jamais été doué en dessin. J'arrive à manquer mes bonhommes allumettes alors c'est pour vous dire l'ampleur de mon talent! 

- Tu veux bien que l'on dessinent ensemble? Je ne suis pas très doué, mais on m'a dit que tu avais beaucoup de talent. Tu pourrais peut-être m'apprendre non?

J'ai mes sources dans l'hôpital, car même si je n'ai pas Winnie sous les yeux tout le temps. Je prends toujours des nouvelles d'elle. Si je suis capable de lui offrir un bilan positif, elle pourra quitter l'hôpital et tenter de reprendre le cours d'une vie normale. 


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MessageSujet: Re: all my scars are open + sebastien all my scars are open + sebastien  EmptyVen 24 Avr - 16:37



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Winnie était une enfant discrète, elle voulait se faire transparente. C'est ce qui la poussait à ne pas manger, à ne pas parler non-plus, à toujours être obéissante, docile, elle ressentait se besoin de disparaître, comme si elle sa place était nul-part, qu'elle n'était importante pour personne. Elle fuyait les conflits, et les autres enfants aussi, elle savait qu'elle était différente. Elle était solitaire et pourtant effrayée par l'abandon. La petite était transpercée par tout un tas de sentiments contradictoires, qui la tiraillaient.  C'est à cause son comportement troublant que son institutrice avait sonné l'alarme auprès des services sociaux de protection de l'enfance aussi que la police, tout dans sa façon d'agir montrait que quelque chose n'allait pas bien chez Winnie, elle arrivait à l'école fatiguée, et affamée généralement. Elle portait souvent les mêmes habits, qui couvrait tout son corps, quelque soit la saison. Elle restait loin des autres enfants, n'osait jamais affirmer ses opinions ni contre-dire qui que ce soit, lorsqu'elle tombait ou qu'un autre enfant essayait de lui faire du mal elle ne pleurait pas, ne réagissait pas. Elle était simplement souriante, polie, obéissante. Elle éprouvait aussi énormément le besoin que la maîtresse la rassure et la félicite pour son travail, elle fournissait énormément d'efforts pour recevoir la fierté des adultes qui l'entouraient. Ses absences, elle ne les expliquait pas, ou que trop peu, elle venait parfois à l'école malade, des maladies chroniques bénignes mais qui n'étaient pas soignées. Les bleus sur ses jambes, ses bras, parfois son visage, elle les justifiait par des chutes pas toujours cohérentes. C'était tout ces indices qui avaient poussé la maîtresse de la petite à se poser des question, mais elle n'avait jamais réussi à faire parler Winnie sur ce sujet. La petite mentait pour protéger son père, mais aussi parce qu'elle avait honte et peur. Elle pensait que tout était de sa faute, qu'elle n'était seulement pas assez bien pour son père, que c'était une petite fille pas assez gentille, pas assez intelligente, pas assez courageuse. Elle croyait que si elle racontait ce qui se passait chez elle, les autres adultes allaient être déçu d'elle. Elle avait aussi peur de devoir aller dans un autre endroit, même si son père la frappait, elle avait une maison, avec ses repères, ses marques, elle avait peur d'être emmené par la police si elle parlait, et ce n'était qu'une toute petite enfant, elle pensait que si son père était emmené par la police elle allait se retrouver toute seule, et de peur d'être abandonnée elle préférait ne rien dire. Elle redoutait aussi les représailles de son père, s'il apprenait qu'elle avait parlé, elle savait qu'il allait être fâché, et la punir encore plus sévèrement. Alors pendant des mois, son institutrice avait pris note de tout ce qu'elle avait trouvé suspect sur la fillette, et c'est avec ce témoignage et l'appel d'un voisin que la police avait finalement débarqué un matin chez la petite Baker pour arrêter son père.
Son comportement n'avait pas changé à l'hôpital, elle restait discrète, voulait se faire transparente, invisible. Elle avait toujours peur de déranger. La plupart des adultes s'accordaient à dire qu'elle avait un comportement beaucoup trop mature pour une fillette de son âge, elle ne pleurait pas, jamais, elle ne demandait pas d'aide même quand elle avait mal. Elle souriait poliment à tout le monde, et refusait d'admettre que ses blessures la faisait souffrir. Elle voulait être courageuse, elle pensait que les médecins perdaient leur temps quand ils devaient s'occuper d'elle, après tout ils devaient avoir des gens beaucoup plus importants à soigner. Elle s'intéressait à tout, ce qu'il y avait dans ses perfusions, ce que les médecins écrivaient dans son dossier, à quoi servaient les différentes machines qui l'entouraient à l'hôpital, elle ne parlait pas mais montrait sa curiosité en observant avec insistance tout ce qui se passait autour d'elle. Elle avait aussi une tendance à vouloir protéger et aider les autres autour d'elle, il n'était pas rare qu'elle aille faire des câlins aux enfants qu'elle ne connaissait pas dans la salle de jeu commune lorsqu'ils semblaient tristes. Il lui arrivait même de jouer avec eux, sans un mot, mais avec des sourires rassurant, comme si elle se sentait responsable d'eux. Mais la plupart du temps, elle préférait dessiner seule, dans la salle de garde des infirmières. Tout ses dessins finissaient dans son dossier médicale, analysé par le psychiatre, les dessins des enfants en disent souvent long sur leur état psychologique sans même qu'ils ne le sachent. Winnie n'avait aucunement conscience qu'elle était traumatisée par ce qu'elle avait vécu, et encore moins qu'elle le retranscrivait dans ses dessins. Elle n'avait pas non plus conscience de ne pas agir normalement pour une enfant de sept ans. Elle avait seulement besoin de comprendre que tout ce que lui faisait subir son géniteur n'était pas normal, et qu'il allait être punis pour ce qu'il avait fait. Elle avait besoin de se reconstruire, de prendre conscience que sa vie était aussi importante que celle des autres, et apprendre à avoir confiance en elle, et faire confiance aux gens qui l'entourent. Et c'est pourquoi elle se trouvait là, au beau milieu de la salle de consultation du docteur Zola. Tu peux t'installer sur la petite chaise tout près de la table basse. Elle alla directement s'asseoir sur la petite chaise désignée par le psychiatre, elle remarqua le rubicube avec lequel elle jouait souvent, elle sourit légèrement, avant de poser délicatement son doudou à côté des crayons de couleur. Elle regardait les feuilles blanches, attendant les consignes de son psychiatre, qui prenait place à côté d'elle. Tu veux bien que l'on dessine ensemble? Je ne suis pas très doué, mais on m'a dit que tu avais beaucoup de talent. Tu pourrais peut-être m'apprendre non? elle hocha la tête positivement et plaça ses longs cheveux derrière ses oreilles, toujours consciencieusement. Elle attrapa le crayon de couleur noir, et lentement elle dessina un bonhomme assez imposant, les couleurs qu'elle utilisait étaient sombres, froides, mise à part pour le visage de son personnage, qu'elle représenta en rouge. Des détails, comme les sourcils froncés et la bouche en dents-de-scie montrait que son personnage était en colère. Elle lui dessina des habits assez grossièrement, mais attacha de l'importance à lui faire une ceinture, qu'elle détailla avec précision. Elle attacha aussi de l'importance aux mains du personnage, qu'elle fit légèrement trop grandes, et rouges vifs. Les traits de son personnage étant fini, elle le coloria très soigneusement, peut-être trop pour une enfant de sept ans. Durant tout son dessin, elle avait senti le regard du psychiatre sur la feuille qu'elle colorait au gré de son imagination. Quand elle eu fini, elle reposa le dernier crayon de couleur en douceur, puis regarda le psychiatre, comme pour lui dire que ce n'était pas si difficile de dessiner. Dans son esprit d'enfant, ce dessin ne signifiait rien, ne révélait rien, ne voulait rien dire. Elle était bien loin d'imaginer tout ce que pouvait comprendre le psychiatre rien qu'en regardant ce dessin. C'était une porte ouverte à lui pour pouvoir aborder le sujet du père de la fillette.
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