Les excuses, le début d'une amitié (Jake)

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Les excuses, le début d'une amitié.

pardonner ne veut pas dire oublier. On ne peut jamais guérir sans pardonner. Le pardon est un acte qu'on fait d'abord pour soi-même afin de mieux avancer.

Les jours se déroulaient toujours sans Primerose. Je me trouvais désormais à deux doigts de me faire virer, mais le travail que j'avais toujours donné surpassé mon comportement de ma dernière nuit de travail. Je me trouvais désormais à deux doigts de me faire virer, mais le travail que j'avais toujours donné surpassé mon comportement de ma dernière nuit de travail. Alors je passais mes journées, soit chez moi, soit à courir, soit à la salle de sport. Aujourd'hui, j'avais justement décidé de travailler sur les machines de la salle de sport. J'avais payé mon abonnement pour six mois alors autant en profiter. Lorsque je me trouvai sur une machine, je vis de loin un visage qui m'était des plus familier et pour cause, il était la raison de ma semaine de vacances. Je me rendais compte que j'avais été beaucoup trop loin avec lui et que nous nous trouvions, tous les deux, réellement amochés. Je ne savais pas si je devais partir m'excuser, et même si je le faisais, celle-ci serait probablement rejetée. Dans cette histoire, j'étais celui qui avait le plus mal agit et je le savais. Lorsque je vis un dirigeant de la salle de sport parlé à Jake, je compris qu'il devait venir ici régulièrement. " Jake ... " Dis je d'un ton peu assuré. " Je voulais vous présentez mes excuses pour la dernière fois. Et vous remerciez de ne pas avoir porter plainte." En effet, s'il avait porté plainte, les ennuies n'auraient pas seulement était d'ordre travail, mais aussi judiciaire.

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▽ Comme on se retrouve. ▽

L. Joshua Warren &' Jake A. Armani

Chacun des êtres vivants sur cette Terre à besoin de quelque chose pour se calmer. Certains ce sont la musique et les airs calmes du classique. Ou d'autres le hard rock ou la Dubstep. Chacun à quelque chose qui lui fait retomber la pression accumulée sur la semaine. Parfois ce sont des addictions, comme les jeux de grattage ou les paris sportifs. Ce n'est pas forcément bons pour eux, mais leur nervosité entassée en eux ressort de cette façon. Moi personnellement c'est le sport, j'ai besoin de me défouler et de me sentir fatigué pour ne plus ressentir l'énervement ou la contrariété. C'est un peu ce que je fais depuis quelques jours, aller à la salle de sport et en ressortir trempé et les poumons en feu. J'ai besoin que l'on me pousse à me surpasser, pour oublier ce que j'ai vécu durant la semaine. Ces derniers jours ont été riches en sport, surtout depuis l'épisode du bar. D'ailleurs, cette journée m'a bien amochée physiquement aussi. Je n'ai pas revu Ceelyana ces derniers jours et heureusement, je n'aurais pas aimé qu'elle voit ma lèvre enflée à cause du coup que ce serveur m'a mis en pleine tête. J'étais vraiment très énervé ce jour là, et s'il n'y avait pas eu cette salle pour me défoulée, je pense qu'à l'heure actuelle je serais assis sur une chaise dans le bureau d'un commissaire, à répéter pour la trentième fois ce qui s'est passé. Mais je ne l'ai pas fais, surement parce que je sais que je vaux mieux que cela. Mes adversaires sur le ring ont par contre pas mal morflée ces dernier jours dû à mon accumulation d'énervement. J'aurais pu lui faire mal à ce serveur quand je l'ai frappé, mais un seul coup suffisait. Je ne suis pas quelqu'un qui cherche à me battre quoi qu'il arrive. Aujourd'hui j'avais décidé de martyrisé le sac de sable, et ça faisait une bonne quinzaine de minutes que j'étais en train de le faire quand le coach est venu me voir. « Jake, tu vas finir par le percé si tu continue à frapper si fort ! » Je rigolais à sa blague et portais encore quelques coups sur le sac quand j'entendis une voix qui me semblait beaucoup trop familière. Je me tournais pour voir la tête (bien amochée aussi) du serveur du bar. De suite j'ai retrouvé l'énervement que j'avais ressentis sur la terrasse, mais je n'ai rien montré, car presque aussitôt il s'est excusé de son comportement. Essoufflé, je l'écoutais me remercier de ne pas avoir porté plainte contre lui. Est-ce qu'il m'avais suivi dans cette salle ? Je ne savais pas, mais je restais silencieux quelques secondes, avant de lui répondre. « Honnêtement j'y ai pensé. Et si je n'avais pas ce sac pour me défouler (je donne un coup dedans) je pense l'aurais fais. Mais de rien. » Je frappais encore quelques fois dans le sac, puis m'arrêtais. Je me rendis compte que je venais de lui parler super froidement alors qu'il a mis sa fierté de côté pour venir s'excuser. Je soufflais quelques secondes, puis me retournais à nouveau vers le serveur. Tiens, il est vrai qu'il à du entendre mon prénom prononcé par le coach, mais moi je ne le connais pas. Ce n'est pas grave, je ne perds rien de toute façon. « Écoutes, je connais un bon moyen pour régler notre histoire. Tu sais porter des gants ? » Je fis un signe de tête vers le mur sur lequel sont pendus 5 paires de gants de boxe. Après tout on à voulu se faire du mal physiquement sur la terrasse, autant que ce soit fait dans les règles de l'art non ? Et au moins avec ça, on ne crains pas de se retrouver avec une lèvre enflée comme la mienne ou l'arcade rouge comme la sienne. Sur le ring on pourrait régler ça, tout en parlant de ce qu'on à ressentit ou de tout autre chose, ce sera fait au feeling. Mais au moins, on pourra parler sans rancœur et sans s'énerver. Chaque coups sera volontaires, et surtout pas dans le but de se tuer mutuellement.

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Les excuses, le début d'une amitié.

pardonner ne veut pas dire oublier. On ne peut jamais guérir sans pardonner. Le pardon est un acte qu'on fait d'abord pour soi-même afin de mieux avancer.

J'avais eu ce besoin de me défouler sur les machines de la salle de sport et puis il fallait que je fasse mon heure de sport sinon celle-ci me manquerait. De plus, je n'avais pas eu de séance de judo depuis trois jours. Pas de nouvelle de Primerose non plus et j'avais été mis en vacance forcé apres l'événement passer au bar avec un jeune homme. Ceci dit celui-ci n'avait pas porter plainte et ne c'était pas non plus plains aupres du patron alors j'avais eu cette chance et celle que j'ai toujours travailler d'arache pied. Je m'échauffa puis parti travailler sur la machine de course et puis sur la machine avec les alteres mais cela faisait un moment. Puis je vis ce jeune homme que je connaisais et pour cause, il était celui qui avait fait que j'avais du prendre des vacances forcé. Je rangea ma fierté de côté et m'excusa. Pendant quelques secondes, je n'eu pas de réponse faisait il peut être semblant de ne pas m'entendre ou alors cherchait il quelque chose à me répondre en espérant que cela ne soit pas méchant. Je ne suis pas ce genre d'homme à ranger ma fierté de côté et d'autant moins à m'excuser pour ce que j'ai fait, je ne regrette jamais. Il me dit qu'il y avait penser, alors raison de plus pour le remercier. Il est vrais que je n'avais pas été des plus agréable avec lui. Juste parce qu'il ne m'avait pas répondu parce qu'il avait eu les oreillettes d'écouteurs dans les oreilles, j'avais fini par lui frapper dessus. J'avais plutôt mal fini et lui aussi dans un état des plus déplorable. Il me dit qu'il c'était défouler sur ce sac, d'ailleurs il devait probablement toujours le faire vue qu'il donna un nouveau coup dans celui-ci. " Merci réellement, il faut dire que j'étais déjà dans un état second et je n'aurais pas du m'en prendre à vous. " Il ne sentait peut être pas compte que sans ce travail, je me serais retrouvé à la rue. Personne ne m'aurait pris si j'avais eu des problèmes de violence dans un ancien travail, d'autant plus que je n'avais aucun diplôme dans les mains ayant arrêter l'école tôt. Et même si j'avais toujours des parents ou plutôt des géniteurs, je préférais rester à la rue plutôt que d'avoir besoin de mon père et de ma mère. Tout ce qu'ils avaient réussi à m'apporter dans la vie et le séjour à l'hôpital en ayant passé à deux doigts de la mort. Puis il me dit qu'il connaissait un moyen de régler cette histoire, il me demanda si je savais porter des gants. Je compris toute suite qu'il voulait régler cette histoire sur un ring. On serait probablement plus en sécurité qu'on l'avait été dans la rue et on finirait dans un état différent, fatigué et non blessé. " Oui je sais mettre des gants, tu veux qu'on règle ça sur le ring ? "

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▽ Faites vos jeux. ▽

L. Joshua Warren &' Jake A. Armani

Dans la vie il faut savoir mettre sa fierté de côté, ranger les armes et baisser la tête comme on dit. J'étais ce genre de type à s'excuser, ou alors à trouver une solution pour supprimer les problèmes qui se dressaient devant moi. C'était une question d'habitude, mais également d'éducation. Ma mère m'a toujours appris que ça ne servait à rien de se battre, et qu'il fallait préconiser la discussion à la violence. J'avais donc grandit dans cette optique, mais me muscler à la salle de sport m'aidait quand même à éviter les coups. Parfois, comme ce jour au bar, ça ne manquait pas, et je m'en prenait une au travers du visage, mais en général, ça ne finit pas ainsi. L'homme du bar, dont je ne connaissais toujours pas le prénom, me remercia une fois de plus et me confirma qu'il savait mettre des gants de boxe. Bon, ça signifiait qu'il avait déjà du se battre dans les règles de l'art, avec un règlement et surtout des méthodes de défense plus évoluer que dans la rue. Je souris, à la fois fier et impatient de voir ce qu'il avait dans le ventre, et lui fit un signe de tête pour qu'il me suive. Je me dirigeais vers le mur où étaient exposés les cinq paires de gants, puis en profita pour lui parler en même temps. « Au fait, c'est quoi ton prénom ? Moi, c'est Jake comme tu l'as entendu par le coach tout à l'heure. » Je le regardais, attendant une réponse pendant que j'enfilais ma paire de gants rouge. Je me souviens de la première fois où j'avais porté des gants, c'était avec mon père. Enfin l'homme qui m'a élevé, j'en eu un pincement au cœur. Cet homme m'a toujours élevé comme son fils, alors qu'il savait depuis ma naissance qu'il n'était pas le géniteur de l'enfant qu'il appelait "son fils". Après sa réponse, je montais sur le ring, suivi par l'homme qui m'a valu une bonne journée de rétablissement pour que ma lèvre arrête de saigner. Je commence des petits sauts sur place pour chauffer mes jambes, et le regarde se préparer de son côté. Bon, et bien maintenant on y est. Je me met en position, et le fixe. On en profites pour régler nos comptes, ou pour parler ? Je ne sais pas trop. J'attends de voir sa réaction. « Alors, tu veux parler de ce qui t'as énervé, ou on se donne des coups et on parle après ? » Je souris, attendant une réaction. Moi, les deux me vont, même si je préfère se défouler en exposant nos problèmes histoire de faire carte sur table directement.

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Les excuses, le début d'une amitié.

pardonner ne veut pas dire oublier. On ne peut jamais guérir sans pardonner. Le pardon est un acte qu'on fait d'abord pour soi-même afin de mieux avancer.

Je venais de mettre ma fierté de côté en m'excusant au près du jeune homme. Il est vrais qu'il aurait pu me faire vivre un cauchemar, faire en sorte que je sois viré de mon emploi et peut être même que je sois derrière les barreaux. Une plainte de plus et mon dossier judiciaire m'aurait directement jeté en prison pas pour une durée de plusieurs années, non pour quelques mois voir au plus deux ans. Cela m'aurait d'autant plus privée de Primerose, si encore j'arrive à la séduire de nouveau. Je lui remercia donc d'accepter mes excuses et lui expliqua aussi que j'étais dans un état second et que je n'aurais jamais du m'en prendre à lui. Il me proposa de faire un petit combat sur le ring, celui-ci serait plus sécurisant que lorsqu'on c'était battu à même les mains dans la rue. Mon arcade qui était encore rouge me causée encore par moment de la douleur. Il me fit signe de le suivre tout en me demandant mon prénom et en me disant le sien. " C'est Joshua. Tu vas souvent dans cette salle ? " Cela allait me permettre de savoir s'il venait souvent ici et donc par conséquent si je risquais de le voir régulièrement. J'enfilais une paire de gant rouge qui était bien à ma taille. Je n'aimais pas la violence, mon père m'avait si souvent frapper pourtant je l'étais parfois à mon tour comme lors de notre altercation avec Jake. Je monta sur le ring. Je me prépara un peu. cela faisait un bout de temps que je n'étais pas monté sur un ring. Je me chauffa le reste du corps qui n'était pas encore chaud pour ne pas faire de mauvais mouvement. Jake vint à me demandais si je préférais faire un combat et parler ou alors seulement le combat et on parle ensuite. Je pensais que mettre des coups tout en parlant ferait en sorte que lorsqu'on descendrais on aurait fait table rase. " On parle. " Puis je le laissa donner le premier coup tout en écoutant ce qu'il pouvait me dire.

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▽ Défends-toi ! ▽

L. Joshua Warren &' Jake A. Armani

Comment faire pour parler à un homme qui nous à foutu sa main en pleine tronche quelques jours plus tôt ? La question n'était pas de savoir comment faire, mais plutôt est-ce que je serais capable de le faire. Je ne voulais pas me retrouver avec le visage tout amoché, qu'est ce que je dirais à Ceelyana par la suite hein ? Mais pourtant, l'idée de faire sortir tous nos problèmes sur un ring me semblait être une bonne idée. Il me demanda alors si je venais souvent ici. En général, on pose cette question quand on espère revoir la personne d'en face, et pourtant je n'étais pas certain que Joshua voudrait me revoir ensuite. Je le regardais un instant, avant de hausser les épaules et de lui répondre sur un ton légèrement détaché. « Oui, au moins tous les deux jours. Mon meilleur ami m'a offert un abonnement à cette salle. » Je n'avais pas besoin d'en dire plus. De toute évidence, il voulait juste savoir si je venais souvent, pas ce que je venais y faire, ni même si je connaissais du monde ici. Et puis pour le moment, on est pas ami. Peut-être qu'un jour ça arrivera, mais pour le moment c'est plutôt quelqu'un que je n'aime pas. Alors moins il en saura, mieux s'est. Je ne lui demandais pas en retour s'il venait souvent ou non, logiquement il me le dirais à un moment ou un autre. Nous montons sur le ring et je jette un regard au coach qui me connais maintenant par cœur. Tu m'étonne, depuis le temps que je viens.. Il fronce les sourcils et croise les bras, il sait ce que je m'apprête à faire. Régler mes comptes sur un ring ce n'est pas la première fois que je le fais. Je lui souris et le regard l'air de dire "t'en fais pas je maitrise la situation". Je regarde alors Josh qui réponds à ma question par deux simples mots. Ils sont suffisant, je ne lui ai pas demandé une phrase entière et je suis content qu'il ne s'éternise pas pour me répondre. Je me met alors en position de défense, en acquiescent. Bien, on va parler alors. Je commence à bouger de gauche à droite, sans le quitter des yeux, et je pose la première question. « Bien alors dis-moi précisément ce que tu me reproche. » Je ne lui laisse pas le temps de répondre et frappe mon premier coup droit dans ses avant-bas. Il est en position de défense aussi, logiquement je ne lui ai pas fais mal. Je sais où placer mes coups, je ne veux pas le blesser, simplement me défouler. Et vu la taille et la couleur de ma lèvre aujourd'hui, de toute façon il sait se défendre.

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Les excuses, le début d'une amitié.

pardonner ne veut pas dire oublier. On ne peut jamais guérir sans pardonner. Le pardon est un acte qu'on fait d'abord pour soi-même afin de mieux avancer.

Je ne savais pas si je risquais de revoir Jake à la salle de sport mais sachant que je ne passais pas deux jours sans être allé à la salle de sport, je préférais savoir ce qui devais m'attendre pour la suite. En effet celui-ci me répondit qu'il avait un abonnement à cette salle et qu'il passait au moins tous les deux jours. Il faisait donc comme moi tous les deux jours minimum. Il me restait donc comme solution soit quitter la salle de sport pour une autre ce que je refusais m'y sentant comme chez moi y étant depuis maintenant un peu moins d'un an. Je pouvais aussi organiser mon planning selon le sien mais je savais dors et déjà que cela allait être compliqué. Si je vais au moins tous les deux jours à la salle de sport c'est pour faire ma séance habituelle mais j'ai aussi ce besoin de m'y retrouvais de temps en temps pour oublier ce que je venais de vivre comme les grosses journées ou mes disputes avec Primerose. " D'accord, j'ai aussi un abonnement à cette salle depuis presque un an. Cela fait longtemps pour toi ? " Désormais il fallait que je pose des questions pour tenté de détendre cette atmosphère qui se faisait encore pesante. Nous montions enfin sur le ring avec les gants de boxe. Visiblement le coach connaissait tout aussi bien Jake que moi, ils se doutaient donc que l'on avait eu un désaccord et qu'on allait rendre nos comptes sur le ring. Le coach savait que ce n'était pas réellement mon genre, je suis plutôt à me défouler sur les barres de musculation jusqu'à n'en plus pouvoir. Je me souvenais d'une fois, lorsque j'avais croisé mon père, j'avais fait une séance de forcing si longue que j'avais fini par avoir une déchirure musculaire. Tout en étant prêt sur le ring, Jake me demande donc ce que je lui reproche tout en ne me laissant guère le temps de répondre que je reçu un premier coup dans mon avant bras. Je me trouvais en position de défense et je ne souffrais donc pas particulièrement. " Je te reproche d'avoir garder tes écouteurs sur les oreilles pendant ta commande et d'avoir été de mauvaise fois par la suite. " Maintenant que je le disais cela me semblait totalement puéril comme situation, comment avais je pu m’énervè à ce point pour une tel histoire. Tout en sachant que cela était plutôt une conséquence de ma dispute violente avec Primerose. Je mis à mon tour mon premier coup dans la partie bustier sur le côté gauche de Jake. Puis je repris ma position de défense sachant que c'était désormais à son tour de me faire des reproches ou alors de s'expliquer sur ce fait. Je savais aussi que je prendrais un coup ce qui était normal, étant donné que l'on se trouvait sur le ring.

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▽ Défends-toi ! ▽

L. Joshua Warren &' Jake A. Armani

Il fallait régler nos problèmes pour pouvoir (peut-être) s'apprécier et devenir amis. Mais pour l'heure, j'avais toujours cette rancœur contre lui. Ce n'était pas normal de sauter sur un client sous prétexte qu'il n'avait qu'a écouter quand on lui parle. J'aurais pu, et peut-être du, porter plainte contre lui. Mais je ne suis pas quelqu'un qui cherche les embrouilles et ça n'aurais rien arranger de porter plainte contre lui de toute façon. Il me regarde, légèrement perplexe quant à ma révélation sur mes fréquentations de cette salle. Il me dit ensuite que cela fait environ un an pour lui, comment se fait-ce que je ne l'ai jamais croisé ici ? Ou alors je n'ai jamais fait attention.. C'est étrange. Je fronce les sourcils en réfléchissant, puis finit par hausser les épaules et me résigner à ne pas y réfléchir. Je lui réponds alors poliment. « Cela fait un peu plus d'un an pour ma part, mais j'étais coach sportif avant cela. Mais pas à New-York. » Nous continuons nos préparatifs en vue de se foutre une bonne raclée puis nous montons enfin sur le ring. Il faut que je fasse attention, j'ai pu voir par le passé que Joshua avait de la force, et je ne voudrait pas me ramener vers Ceelyana avec un coquard, ça ne le fait vraiment pas. Il m'explique alors ce qu'il m'as reproché le jour ou je suis aller me désaltéré au bar ou monsieur travail, et je comprends ce qu'il me dis. C'est vrai que j'aurais du l'écouter, mais est-ce que ça vaut vraiment un coup au visage ? Je ne pense pas. Je fronce les sourcils quand il m’assigne son coup au niveau des côtés, et reprends ma position de défense. Je bascule sur mes jambes de gauche a droite, puis lui réponds d'une voix rauque. « Je comprends mais tu aurais simplement pu répéter. Je suis désolé si tu as pris pour affrontement ma façon de te parler. » Je lance mon gant de boxe sur son côté droit, au même endroit qu'il m'a lancé le sien, de mon côté gauche. Je le regarde toujours les sourcils froncés, mais je m'en remet rapidement. Effectivement, j'aurais du l'écouter, je m'en ronds compte maintenant. « Est-ce qu'on pourrait simplement parler sans s'énerver maintenant ? » Je ne parle pas du combat sur le ring, mais d'un ensemble de choses. S'il est abonné à cette salle, on va surement être amené à se voir rapidement et souvent. Je me replace tout de suite après mon coup, parce que je sais que c'est à son tour. Il va me répondre et m'en mettre un à son tour. J'aime cet échange même s'il fais mal parfois, parce qu'il permet de repartir du bon pied.

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Les excuses, le début d'une amitié.

pardonner ne veut pas dire oublier. On ne peut jamais guérir sans pardonner. Le pardon est un acte qu'on fait d'abord pour soi-même afin de mieux avancer.

Cela était d'autant plus étrange que je ne sois jamais tomber sur lui étant donnée que lui aussi avait eu cette abonnement il y a un peu plus d'un an. Il me fit savoir aussi qu'il était coach sportif avant cela mais que ce n'était pas à New-York. Je pensais qu'on en avait fini avec les court bavardage. Je monta sur le ring, me prépara et les premiers coup tomba. Je venais de lui dire que je lui reprochais d'avoir garder ses écouteurs pendant la commande et d'avoir été de mauvaise fois par la suite. En réalité, je réalisais à quel point la situation était puéril. J'étais monté sur mes grands chevaux trop rapidement, la dispute avec Primerose avait eu plus d'impact que je pensais sur les événements. Jake accepte le coup au niveau des côtes avant de reprendre sa position de défense. Il me répondit à mon attaque qu'il comprenait mais que j'aurais pu simplement répéter. Il n'avait pas tort et aujourd'hui je m'en rendais compte. Ayant repris ma position de défense, ce fut à mon tour d'encaisser un coup sur le côté droit. Puis il me demanda si on pouvait simplement parler sans s'enerver désormais. Je pensais qu'il avait réellement raison d'autant plus que l'on serait contraint à se revoir. Je lança un coup sur le bras droit en essayant de ne pas lui faire mal et lui répondit : " Je pense que la situation a vite dégénéré a cause de ma vie personnel. Les filles peuvent nous rendre tout simplement fou. " Qu'est ce qui me prenait de lui dire une tel chose surtout sur un ring. " Je pense que l'on peux parler sans s'enerver. Notre embrouille été futile et est parti beaucoup trop loin. "

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▽ Nous ne sommes pas bêtes ▽

L. Joshua Warren &' Jake A. Armani

Je pourrais presque dire que la situation était sous contrôle, mais tout résidais dans le mot "presque". Évidemment nous étions en train de vider notre sac, et c'était plutôt une bonne idée, mais le problème ne changeait pas. Est-ce que par la suite nous pourrions nous parler sans se taper dessus ? D'accord, là c'était contrôlé et voulu, sur ce ring, mais toujours est-il qu'on est quand même en train de se taper dessus. Josh' m'explique que tout ça, au fond, c'est a cause d'une femme. J'aurais pu le deviner, quand un homme deviens fou en général c'est a cause d'une femme. Je me met alors à penser à Ceelyana, est-ce qu'on pourrait s'embrouiller un jour ? Je ne sais pas ce que ça fait d'avoir des sentiments pour une femme, est-ce que ça rend dingue à ce point ? Je n'en sais rien et j'avoue que je ne suis pas rassuré à cette idée. Mais nous sommes tellement complices.. Ce serait étranges que nous trouvions un sujet de discorde. « Je comprends.. » Je ne sais pas trop quoi lui répondre. Je ne peux pas lui parler de Ceelyana tout de suite, nous ne nous connaissons pas plus que ça. Et de toute façon qu'est ce que je pourrais bien lui dire ? Moi-même je ne sais pas où nous en sommes. Il me fait une espèce d'excuse tout en m'expliquant que lui comme moi nous n'aurions pas du en arriver là pour une histoire de boisson, et je suis assez d'accord avec lui. J’acquiesce d'un signe de tête, et baisse un peu ma garde. « C'est vrai. Bon.. On descend de ce ring et on va boire un verre ? En tant que clients cette fois. Toi et moi pour finir de tout mettre à plat ? » Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu'avec Josh' nous pourrions être ami. C'est un ressenti étrange après ce qui s'est passé entre nous, mais pourtant j'en suis persuadé. Il y a quelque chose en lui qui me rassure et qui m'effraie en même temps. Il est temps que nous apprenions à nous connaitre, et pas seulement physiquement avec nos poings. Nous devons nous parler comme deux personnes civilisées.

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