Lonely Tonight [PV Eylan]

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Lonely Tonigth

Zach Alenko & Eylan Avery

Je sortais d'une soirée. Je dois vous avouer que je ne savais pas du tout qui était cette fille qu'on fêtait, ni ce mec que j'embrassais. Des noms ? Bien sûr, ils en avaient, mais c'était vraiment dur de se souvenir. Surtout que je n'avais vraiment pas la tête là en ce moment. Depuis que j'avais dit à Jake pour mon orientation sexuelle je n'avais plus peur. Non c'est faux, mais totalement faux j'avais peur que les médias utilisent cette information pour me faire du mal, mais bon ce soir je n'étais vraiment plus moi-même. Comment les autres allaient prendre cette information ? Comment les gens avec qui je travaille allaient le prendre ? J'avais bu et fumer tellement que je ne me souvenais même plus le nombre de bière, de joint et encore moins les autres trucs que j'avais consommés. Je me surprends encore à ne pas être par terre. De plus, j'étais vraiment fier je n'avais pas encore vomi. J'étais au point départ, j'étais en train de redevenir ce raté que je croyais avoir laissé au Canada. Faut croire que notre passé est toujours-là pour nous hanter. Se rater qui ne faisait que sortir dans les bars et qui n'arrivait même pas à se souvenir de ses soirées. Comment je pouvais être tombé aussi bas ? Pourtant, je m'étais fait des amis, des bons amis tels que Jake et Zeppelyn. Merde... pensé me donnait tellement mal à la tête. Puis, pourquoi je pense à de tels trucs quand je suis en train d'embrasser ce dude avec ma main dans ces pantalons. Même que je n'étais pas du tout déçu de la taille. C'est alors, que les choses continuaient et je me suis retrouvé dans la chambre de ce mec. Je commence à le déshabiller et lui fait la même chose. Nous étions finalement prêts pour passer à l'acte quand je ne sais pas pourquoi, mais pour résumer ce n'était pas existé. Je n'arrivais pas du tout à l'être. Pourtant, il était là à m'admirer avec ces beaux yeux verts. Je pouvais enfin voir tous ces tatouages dont il m'avait parlé. Ce mec était vraiment chaud....J'avais totalement honte de moi, j'ai pris un papier et je lui écris mon numéro et j'ai quitté son appartement à contrecoeur. Je me sentais pratiquement mal. Non pas vraiment. Il pouvait finir ce qui était commencé comme un grand. Bref, c'était surtout moi le problème. Je ne voulais pas rester seul ce soir. Oui j'étais prêt a échangé du sex contre de la compagnie. C'est minable non ? Comment je pouvais me sentir aussi seul dans une ville aussi grande ?

Une fois à l'extérieur je me suis allumé une cigarette. Je fume que rarement et seulement quand j'ai bu. Je ne sais pas pourquoi j'ai un paquet ni même me la donner, mais il était là. Je me suis assis sur un banc. Je ne pouvais pas comprendre comment un sale connard pouvait me mettre dans un tel état. Je ne voulais vraiment pas put entendre parler d'amour. Cette chose n'est bonne que pour le cinéma et le théâtre. J'avais tellement mal partout. Ce soir je crois que j'avais été trop loin. Je n'aurais pas dû autant consommer, mais cette sensation forte me donnait ce sentiment, celui qui ressemble au bonheur. Ce sentiment qui n'était qu'une illusion, mais pourtant c'est la seule chose qui me faisait vivre en ce moment. Si mon père me voyait en ce moment il s'amuserait à me rappeler que je suis un raté et que j'aurais vraiment dû continuer l'hockey. En ce moment il n'aurait pas tort. Je suis littéralement un raté. Je sais que j'avais un boulot que j'aime et que je réussissais bien ma vie, mais ce n'est vraiment pas ce qui me donnait du bonheur. Je me sentais toujours aussi vide. Je sentais que je n'étais qu'une épave vide. Pour être honnête, c'est dans des moments comme ça que mon demi-frère Dylan me manque vraiment. Ils seraient trouvées les bons mots comme il le fait toujours.

Je me suis finalement relevé pour aller me chercher de l'eau dans un dépanneur. Cela allait vraiment me faire du bien. Par contre, je ne savais vraiment pas du tout où j'étais. Tant pis, dans le pire des cas je n'avais qu'à prendre un taxi et dire mon adresse. Je marchais tranquillement quand tout à coup j'entendis quelques choses, quelqu'un ? Ils avaient des gens qui se battaient pas loin de moi. Il avait cet homme par terre qui ne pouvait plus se défendre. Je ne pouvais pas laisser cette situation continuée plus longtemps. J'ai donc couru du mieux que je pouvais et je me suis interposé entre les deux mecs. Qu'est-ce qui pouvait prendre à cet homme de battre un homme à terre ! C'est tellement dégueulassé. Par chance, je n'ai pas eu à me battre une fois arrivé sur les lieux l'autre est partie. Je me suis alors penché et pris l'homme par terre.

'' Putain... Je ne sais pas ce que tu as fait, mais cet homme n'avait vraiment pas l'air de t'aimer. J'espère que t'a pas couché avec sa meuf, sa blonde, son affaire, car elle devait vraiment valoir le coup. M'enfin, je te le souhaits. Ha, merde... Je suis vraiment impolie. Je me présente je suis Zach. Par contre, ne m'en demande pas trop, je ne suis pas plus en forme que toi. Hey, on connait ? Je suis sûr que ton visage me dit quelque chose... étrange ! ''

Pour être franc j'avais cet homme qui se tenait sur mon épaule et je ne savais trop pas quoi faire. Je crois vraiment que les événements me dépassaient. Par contre, au moins malgré cette soirée de merde j'avais fait quelque chose de bien, j'avais aidé un homme. Bravo Zach ! Finalement, je ne suis peut-être pas si connard qu'on me fait croire. Putain ! Non, je ne pense même pas à son nom. Je dois vraiment passer à autre chose. L'homme reprit ses esprits et il me répondit. L'espace de moment je l'avais presque oublié. Non, mais j'avais peut-être joué les héros, mais je ne savais vraiment plus quoi faire. J'espère vraiment qu'il a toute sa tête sinon la soirée risque d'être vraiment longue. Mouais... en fait cela n'allait pas vraiment changer grand-chose à part que cette soirée va être aussi longue, mais je serais accompagné par ce bel inconnu.

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Encore une soirée arrosée? Bien sûr j’en avais envie, et tout simplement, je me sentais sombrer réellement, c’était terminé la sensation de faire le fort, c’était vraiment parti. Surtout après avoir appris, comment je ne savais pas, que finalement Jules avait mis fin à ses jours, sans revenir, sans un mot, pourquoi??? Au fond de moi j’avais toujours espéré qu’il allait revenir, et qu’il allait s’excuser pour tout ça, je savais qu’il s’agissait d’un moment de peur, de panique, vis à vis de notre couple,, je le savais capable de beaucoup de choses, mais pas de mettre fin à ses jours de cette manière, sans raison. Il était trop tard de se poser des questions, même si je me sentais responsable, j’avais sans doute fait quelque chose qu’il ne fallait pas, étais-je responsable de tout ça? Même si on m’avait dit de ne pas m’en faire,c ‘était impossible, je l’aimais Jules, et même si j’étais maintenant dans l’Elite que je faisais l’enfoiré, il était toujours dans mon coeur, toujours dans mon esprit, je savais qu’il aurait été fier de voir que j’avais moi aussi réussi. Ce soir c’était la descente aux enfers, j’étais rapidement passé chez lui, j’avais une clé, pour aller chercher toute sa marchandise , et la ramener chez moi, j’avais fumé ce soir, j’avais pour la première fois consommer de la drogue, ensuite un petit tour dans un bar pour boire juste au dessus de tout ça. Effectivement le mélange était vraiment pas très bon. Je sentais la colère en moi, et il ne fallait pas qu’on me cherche. Manque de bol , apparemment la mort de Jules avait déjà fait le tour de la ville, et je n’avais pas envie qu’on vienne me faire chier à cet instant. Et pourtant un gars était venu tout me mettre sur la gueule, oui, tout semblait être de ma faute, un mec que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam , mais il semblait connaître Jules encore un coup de queue de sa part sans doute?

“Bon sang, lâche moi, et arrête de parler de lui comme ça, tu ne le connais pas, tu ne connais rien de lui, rien de tout ce que je pouvais connaitre moi , alors dégage espèce d’enfoiré”

Mais je m’étais levé, il m’avait clairement gavé, du tout, en sortant du bar je le bousculais d’un énorme coup à l’épaule. C’était sans doute une très mauvaise idée, car ce gars s’est mis à me suivre à l’extérieur, bon sang, je voulais juste qu’on me fiche la paix, juste rentrer chez moi, bon c’était très difficile de marcher droit, j’avais mal à la tête, enfin c’était la totale simplement, mais je me fis stopper par ce mec, encore

“ Mais lâche moi espèce de…”

Mais il venait de me sauter dessus, je me faisais rouer de coups, je n’arrivais pas à riposter, réellement , je n’y arrivais absolument à me défendre, je n’avais pas le choix que d’encaisser, sans doute que j’avais mérité tout ça?? Possible, réellement possible, j’entendais des voix, quoi il n’était pas tout seul,j’allais prendre doublement???Ah non… Quelqu’un pour me défendre , oula, tout tournait autour de moi, je m’étais redressé, me tenant à ce gars qui me posait des questions, peut être parlait-il de trop? sans doute, car je n ‘arrivais à rien contre, je le fixais tout en restant accroché à son épaule.

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Zach Alenko & Eylan Avery

Je traînai ce mec à l'aide de mon épaule jusqu'au banc de parc le plus proche. Dans mon état ce n'était vraiment pas facile et je ne parle pas du fait qu'il était vraiment plus lourd qu'il en avait l'air. Ce mec était vraiment mal. Il semblait vraiment avoir perdu la carte, sans parler du fait qu'il venait de prendre de violents coups. Je ne le connaissais pas du tout, mais j'avais vécu dans des valeurs assez humaniste, donc je ne pouvais pas le laisser ainsi. Il ne parlait pas vraiment beaucoup. Il semblait ne même pas comprendre que je venais de la sauver. Je ne savais pas ce qu'il avait pris, mais c'était vraiment plus fort que tout ce que moi j'avais pu oser prendre dans ma vie. Je ne savais pas quoi lui dire, ni même s'il avait envie de me parler. J'étais dans un bon merdier. Je ne pouvais pas non plus laisser-la. D'un coup que le connard revient faire surface. Bref, je l'ai laissé là un peu le temps que j'aille e dépanneur en face. Je pris des bouteilles d'eau, un genre de sceau, des pullule contre le mal de tête, des boissons énergisantes telle que souvent nommé G2, bref mon kit se survit au lendemain de brosse. Je ne perdis pas une minute avant de le rejoindre. Il était toujours-là sonné ben dure comme on dit chez moi. Je ne pouvais pas comprendre les gens qui marchaient à côté et qui ne faisaient que l'ignorer. Ha... New York, la ville aux mille et une lumière et aux rêves, par contre l'humaniste ... c'est autre chose.

'' Au fait, je me nomme Zach. J'ai acheté quelques trucs afin de t'aider. Je ne sais pas pourquoi tu t'en es rendu là, mais cela ne doit pas être ton genre. Tes des vêtements qui sont assez trop coûteux pour être un jeune de la rue. Si tu veux rien dire ça me va. Par contre, tu vas devoir prendre une bonne gorgée d'eau et deux de ses pilules. ''

Je ne savais pas encore pourquoi je me donnais tant pour faire ça. Ce mec en avait sans doute rien à foutre de moi. Il devait faire partie de cette chose qu'on nommait Élite. Je n'en sais pas trop sur eux, à part qu'ils sont des gosses de riches gâtés pourris qu'il se fiche pas mal des gens de mon niveau social. Merde cela me fait vraiment bizarre. On dirait que je parle d'un de mes cours de Dramaturgie, avec la célèbres Linda Wilscame, que je parle d'un noble et d'un paysan. Bref, ce me sentais vraiment minable. Par contre, cela peut paraître un peu connard, mais cela me faisait vraiment du bien de voir des gens qui sont plus mal de moi. Je rendais compte que finalement, il y avait vraiment pire que mes histoires d'amour qui ne fonctionnent jamais. Je n'avais peut-être plus Dylan, ni ma famille près de moi pour m'aider à transvaser ça, mais ils étaient là et j'avais mes amis. Ce qui me troublait le plus avec ce jeune homme c'est que son visage me rappelait quelque chose. Je suis sûr que j'avais vu son visage il n'y a pas si longtemps. J'observai un peu partout quand j'ai finalement compris d'où me venait son visage. Le pauvre, ce n'était pas lui qui était en couple avec le mec qui c'était suicidé ? Il faisait la première page du journal. Putain le pauvre, je comprends, alors son désir de sensation forte. J'avais moi aussi perdu un ami de la sorte.

'' Je savais que ton visage me disait quelque chose. Je comprends ta douleur t'inquiète, mais ce n'est pas une raison pour aller le rejoindre. La vie est une salope, je te l'accorde, mais c'est lâche de laisser les gens qu'on aime comme ça. Tu devrais comprendre. C'est exactement, ce qu'il t'a fait. Il ne faut vraiment pas faire comme lui. Il a sans doute pleins des gens qui t'aiment. '' puis je lui donnai une tape dans le dos.

Je ne voulais pas trop m'approcher de lui. Il sentait quand même assez mauvais et je venais de lui donner de l'eau et des pilules il pouvait les gerber à n'importe quel moment. Bref, j'allais vérifier son état, le surveiller un peu et le mettre dans un taxi dans pas trop longtemps. Je voulais tout simplement voir s'il avait besoin d'aller faire un tour à l'hôpital. Je ne sais pas du tout ce qu'il a consommé et encore moins quel mélange dangereux il a pu faire surtout dans cet état émotif. Tu sais ce genre de truc quand tu vis en campagne. Dans ce genre de milieu pauvre, les jeunes pour se divertir ils croient que la drogue est la seule solution pour s'amuser, donc ils prennent toutes sortes de cochonnerie. J'avais déjà vécu ce genre de situation, donc j'allais pouvoir m'occuper de sa salle gosse de riche. Au moins, puisqu'il a de l'argent sa drogue devait être de meilleure qualité, donc moins de risques de psychose.

'' Tu vas devoir me parler. Me donner ton nom, ce que tu as pu mélanger. Après je verrais si je t'envoie chez toi ou si on va faire un tour à l'hosto. Tu sais, tu pourrais faire attention. On ne joue pas avec la vie comme ça. Ce n'est pas parce que t'a de l'argent et que t'a tout ce que tu veux à cause de ton gentil papa. On n'a pas tous ta chance, donc arrête de déconner. ''

Je ne pouvais pas m'empêcher de rester neutre. Cela me dégouttais de voir jeune de son niveau agir ainsi. Il y a pleins de gens qui se bat pour obtenir un salaire pour nourrir leur famille, des gens qui se battent pour réaliser leur rêve. Eux ? Ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient de leur vie et ce n'était pas un problème ? La bouff ? Ils devaient manger ce que traiteur leur faisait a chaque jour. Des macaronis au fromage ils ne devaient pas connaître. J'étais un peu fâcher contre ce mec et il m'avait rien fait. Putain, c'est pas mon genre de juger. Je pris une grande respiration pour reprendre des idées claires. J'allais l'idée jusqu'au bout et après je vais pouvoir le juger. Je lui laisse une chance de me prouver que les Élites sont pas tous des connards.

Je ne pouvais pas m'empêcher de rester neutre. Cela me dégoûtait de voir jeune de son niveau agir ainsi. Il y a plein de gens qui se battent pour obtenir un salaire pour nourrir leur famille, des gens qui se battent pour réaliser leur rêve. Eux ? Ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient de leur vie et ce n'était pas un problème ? La bouffe ? Ils devaient manger ce que traiteur leur faisait à chaque jour. Des macaronis au fromage ils ne devaient pas connaître. J'étais un peu fâché contre ce mec et il me n'avait rien fait. Putain, ce n'est pas mon genre de juger. Je pris une grande respiration pour reprendre des idées claires. J'allais l'idée jusqu'au bout et après je vais pouvoir le juger. Je lui laisse une chance de me prouver que les Élites ne sont pas tous des connards.

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Lonely Tonight

J’étais sonné, je me rendais compte que ma vie partait en live comme jamais, mais j’en étais au point à ne pas me relever presque, pourquoi faire de tout façon? Je n’en savais rien, mais en y réfléchissant j’étais dans l’Elite, et j’avais intérêt à remonter la pente, mais là sur le moment j’étais sonné, j’avais mal à la tête, envie de vomir, je ne savais pas si c’était les coups que j’avais pris ou l’alcool mélangé avec la drogue, j’en avais aucune idée. Avec tout ça, j’avais rencontré un sauveur? Pouvais-je l’appeler comme ça? Peut être je n’en savais rien , je l’avais écouté me parler, mais j’étais totalement à l’ouest, mais là il venait de me poser sur un banc, je devais avouer qu’il était bien tombé, mais j’en étais à penser qu’il allait se barre en me laissant comme ça, en même temps à part le remercier de m’avoir sortir d’un merdier, il ne me devait rien, c’était plutôt moi qui lui devait la vie sauve pour le coup. J’avais simplement fermé les yeux, quelques secondes voir quelques minutes peut être, pour l’entendre s’éloigner, bon, bah voilà, j’allais attendre un peu que tout se calme dans la tête pour ensuite rentrer à mon appartement. Mais non, je n’en croyais pas mes oreilles, ce jeune homme était revenu, j’avais ouvert les yeux, et je le fixais , il s’appelait Zach, il me semblait que son nom me parlait, mais je n’avais guère envie de réfléchir de suite. Il ne voulait pas me forcer à parler et cela m’arrangeait dans un sens, je ne me sentais pas totalement prêt. Mais rien qu’en m’observant il avait compris que je n’étais pas un gars qui avait l’habitude de trainer là, je pris la bouteille et les deux pilules que j’avalais directement. Je tentais un petit sourire, pourquoi pas dans un sens.
Je voyais qu’il me fixait et j’étais certain qu’il commençait à faire le grand lien sur qui j’étais, je ne pouvais pas réellement me cacher, mais après tout je n’en avais pas vraiment envie, pourquoi faire après tout.

“Oui tu dois savoir qui je suis, je suis le fameux Eylan, faisant partie de l’Elite, mais tu as vite remarqué à mes vêtements que je n’étais pas du coin; Mélanger… hmm de l’alcool en grande quantité et de la drogue, je ne sais pas ce que j’ai trouvé chez Jules, j’ai pris les sachets et j’ai mélangé, c’est la première fois que je me drogue comme ça… En même temps je ne suis pas sûr de vouloir continuer à vivre…”

C’était la vérité, je ne savais pas ce que je voulais, vivre, hurler, mourir. J’étais totalement dans l’incompréhension, mais peut être que de voir ce gars tenter de me sortir de cette merde, était peut être un signe, peut -être… Je déposais la bouteille d’eau sur le banc, regardant devant moi, sans réfléchir, je n’avais plus envie de réfléchir, je n’avais plus envie de rien, mais en voyant le regard de mon sauveur, si je pouvais l’appeler comme ça, je ressentais de la froideur, de la haine peut être?? Malgré ce que je suis, j’étais un homme, même si j’avais un quelconque pouvoir, j’avais des sentiments, je pouvais être triste,en vouloir au monde entier, comme je me disais souvent, ce n’est pas parce que je peux chier des paillettes que je n’ai pas le droit d’avoir une humanité…

“ Tu peux rentrer chez toi si tu veux, je me débrouillerai, tu m’as déjà sauvé merci”

Je finis par sortir les deux sachets de mes poches en les laissant tomber à mes pieds, il pouvait en faire ce qu’il voulait, c’était un peu ce qu’il me restait de Jules.

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