Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

Ses paroles m'ont traversées à la vitesse de la lumière. Si nous étions en pleine journée, elle aurait surement remarquée la noirceur de mes yeux suite à ce qu'elle venait de me dire. Profiter ? Je comptais bien en profiter, mais lentement, ne pas se précipiter, je souhaitais faire perdurer le jeu au maximum. C'est ce qui nous à rapprocher, c'est ce qui fait qu'elle comme moi nous n'avons pas envie de terminer cette soirée. J'allais en profiter, mais sans tout gâcher. La tête contre la vitre, j'ai préféré ne pas la regarder en formulant ma réponse. « Ça mademoiselle, j'y compte bien.. » Je souriais dans la noirceur de la nuit, sans savoir si elle me regardais ou non. Je m'en amusais, et c'était un plaisir. Une fois garer devant la maison, elle m'a à nouveau regarder et m'a dit qu'elle ne se dégonflait jamais. Je savais qu'elle cherchait une fois de plus à retourner la situation en sa faveur, c'est ce qui me plait je crois dans ce jeu. On se tourne autour. Nous ne sommes plus que deux dans cette voiture, plus de bruit, plus de musique, et pratiquement pas de lumière. Juste elle, et moi. Détachant ma ceinture, je me suis penché vers elle. A quelques centimètres de son visage j'ai parler tout bas.. « Moi non plus, ça tombe bien. Allons-y ! » Nous sommes sortis de la voiture, et j'ai attendu qu'elle fasse le tour et qu'elle arrive à ma hauteur pour prendre sa main et entrer dans le bâtiment. J'étais bien, depuis le début de la soirée, mais encore plus depuis que je sais que je vais continuer la soirée avec elle. En vérité, je ne sais pas ce qui me plais le plus, si c'est le jeu ou si c'est elle. Je pense que je ne saurais pas donner de réponse a cette question, j'aime beaucoup les deux, et je ne vois pas pourquoi je devrais choisir. Nous sommes arrivés devant chez moi, et lui ai ouvert la porte. Elle est entrée, et ses yeux ont fait le tour de la pièce. Je l'ai regardée faire pendant un moment, puis j'ai posé mes affaires dans un coin de la pièce. La question qu'elle m'a posé juste après son compliment sur mon appart' à parcouru tout mon corps, en passant par tout mes membres. J'ai pris une grande inspiration avant de me rapprocher d'elle au maximum. « Je te remercie pour le compliment. Et.. Je ne le pense pas. Je suis sur de moi. » Je ne suis pas quelqu'un de prétentieux, mais je n'avais pas trop de doute sur le fait que le jeu finirait par nous gagner. Soit par elle, soit par moi. Mais on ne pouvait pas continuer éternellement sans prendre le risque que ça aille un jour plus loin. Proche, trop proche de son visage, j'avais mes yeux à nouveau dans les siens, et je lui ai sourit une fois de plus. Si on m'avais dit que je rencontrerais quelqu'un comme elle ce soir, je ne l'aurais pas cru. Pourquoi j'agissais comme ça avec elle ? Je n'en savais rien, mais c'était un bonheur. Je pris une mèche de ses cheveux pour la remettre derrière son oreille, pendant que mes yeux descendais sur ses lèvres. Bon sang, non, je suis trop proche. Arborant mon plus beau sourire, je me suis écarté d'elle pour l'emmener dans les autres pièces de mon appartement. « Bon, je te fais visiter ? » Il fallait que je pense à autre chose, sinon je ne tiendrais pas la soirée. C'est tellement une addiction ce jeu. Ambiguïté, excitation, impatience, tellement de choses qui font que je vais finir par craquer avant même d'avoir commencé à la chercher. En dehors du bar je veux dire, on est chez moi donc c'est ici que je devrais avoir le contrôle sur ce que je fais. C'est ma tanière comme elle a dit, et je devrais savoir gérer ma façon d'agir ici. Prenant une grande inspiration pour reprendre mes esprits, je me suis dirigé vers le salon. Rien de bien spécial, il est en grande partie blanc. J'aime le blanc, ça agrandit la pièce, et en journée ça éclaire tellement bien. Le tableau au mur est à la fois une fierté, et une gène en même temps. C'est moi, en Sicile, sur la plage. Mon premier shooting, et surement celui ou je me suis le plus amusé. Le salon donne sur un petit coin cuisine. J'aime bien cet endroit, même si je ne sais pas très bien cuisiner. Ce n'est pas grave, ça s'apprend non ? Je la regarde, guettant sa réaction. Mais elle veut voir le regard que prenne les hommes mannequins lors de séances photos, elle me l'a dit. Mais celui là n'est pas ici, pas encore. Je reprend sa main à nouveau pour l'emmener dans le petit couloir où se trouve la salle de bain, classique, mais aussi un cadre. Surement celui qu'elle voulait voir. Celui ci ne sort pas d'un shooting, c'est ma mère qui l'a prise. Elle était passionnée de photo, mais n'a jamais souhaité en faire son métier, de peur de se lasser. Je la comprend tellement. Ce simple couloir où nous étions à présent arrêté, mène droit dur une porte au fond où sont accrochées 3 lettres formées dans un faux miroir. "J.A.A". Faisant tourner ma tête à plein régime, je ne savais plus si je m'étais présenté avec mon deuxième prénom. Enfin ce n'est pas grave, si elle demande, je lui répondrait. « Et là-bas c'est ma chambre.. » Je fit un mouvement de la main pour désigner la porte blanche au bout du couloir. J'observais chacune de ses réactions, j'aimais bien savoir si elle aimait ce qu'elle voyait. Il fallait que je sache, par simple curiosité, mais aussi parce que l'avis d'une femme est toujours bon à prendre. D'habitude je me fiche pas mal de leurs opinions sur ma décoration, mais .. d'habitude aussi, je ne leur laisse pas vraiment le temps de la regarder. Bon sang, je ne cesserais de me répéter, mais cette fille est vraiment trop belle. Encore plus maintenant qu'elle est chez moi, je ne me lasserais pas de la regarder je pense. Attention mec, tu n'es plus dans la voiture, si tu la dévore des yeux maintenant elle le verras. A cette pensée je détourne le regard, et le pose sur la porte de mon domaine. Toujours debout dans le couloir, je ne sais pas si je dois l'emmener dans ma chambre. Je veux dire, on s'amuse depuis le début de la soirée, on se tourne autour, on se cherche, et l'emmener dans la seule pièce qui m'est entièrement réservée, ce serait comme jouer avec le feu. J'aime jouer avec le feu, j'adore ça même, mais c'était à elle de décider à cet instant. Est-ce qu'elle à envie d'y aller ? Je ne saurais le dire..  

Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

J'étais sur, c'était obligé qu'elle allait remarqué le tableau du couloir, comment ne pas le voir ? Elle me l'avais demandé toute la soirée après tout. Elle me demanda de faire le même, ce qui provoqua un sourire joueur qui n'était pas apparu depuis.. quoi.. dix minutes ? Grand maximum. J'aime bien ce jeu, j'aime beaucoup même. Je ne sais pas si c'est commun pour elle de jouer ainsi.. Je ne pense pas. Elle n'a pas l'air d'être le genre de femmes qui s'amuse avec tout le monde. C'est plutôt flatteur je dois dire. Je mis un moment avant de répondre, m'approchant d'elle, mais pas trop près, j'ai déjà joué avec le feu tout à l'heure et j'ai bien faillit craquer et céder à mon propre jeu. « Hum.. Plus tard. Ce sera beaucoup plus .. intéressant, quand tu ne le demandera pas. » Elle me répond qu'elle veut aller dans mon domaine. Je sais que c'est dangereux, que c'est un risque pour elle comme pour moi d'aller au bout du jeu, d'arrivé à la case finale, mais je prends le risque. Après tout, rien ne sert de s'amuser si on ne prends pas le risque de perdre. Quoi que je ne pense pas que ce soit perdu si on craque, si on va plus loin que ce qu'on s'interdit de faire depuis le début de la soirée. Je la regarde, elle observe ma chambre, je pense qu'elle cherche des détails sur quoi s'appuyer pour me charrier encore, ou pour s'amuser. Quelque chose sur quoi rebondir. Je m'appuie contre mon bureau, et croise les bras sur ma poitrine pendant qu'elle tourne dans la pièce. Puis elle s'approche de moi, a-t-elle trouvé ? Elle se rapproche, encore et encore, jusqu’à mon visage, ou plutôt mon oreille. Elle me chuchote que c'est la pièce qu'elle préfère. Je pense qu'à ce moment précis, si l'on ne jouais pas depuis le début de la soirée, si l'on ne se retenait pas d'aller plus loin, je lui aurais sauter dessus. Je la dévorait des yeux. Son visage, ses yeux, ses lèvres, j'avoue que tout chez elle m'attirais. Je posais mes mains sur ses hanches et l'observais. Je ne savais pas quoi répondre, en vérité mon cerveau était comme déconnecté. Je n'avais pas de moyen de bouger, j'étais contre le bureau, et devant moi il y avait.. elle. Je sentais les battements de mon cœur dans ma poitrine, plus fort qu'à la normale. « Ah bon ? Et puis-je savoir pourquoi ? » J'ai murmuré ça dans un souffle, et je savais que c'était le temps. C'était là, pile au bon moment. Le regard qu'elle m'a demandé toute la soirée, celui que je ne faisais que pour les occasions spéciales. Pour les shootings, ou .. a ce moment précis. Je n'ai pas lâché son regard, comme depuis le début de la soirée, je sais, mais là c'était différent. On ne sentait pas la tension entre nous, c'était pire que ça encore. Elle était proche, trop proche, et j'en profitais. Mes mains sur elle, c'était le seul contact qu'on avais vraiment eu depuis la danse. Je me repassais cette danse en tête, on peu dire que c'était le début du jeu, c'était le premier vrai moment sur lequel on s'est rapproché. Voilà où nous en sommes à présent. Je ne voulais pas la lâcher, vraiment pas. Cette proximité était vraiment plus que plaisante. Il fallait que je saches. « Tu sais que la dompteuse prends des risques à cet instant présent ? » Je lui fit un clin d’œil, et je ne pus m'empêcher de recommencer. Je ne savais pas si mon regard "mystérieux" comme elle dit lui faisait quelque chose, mais j'aimais bien jouer avec le feu. Et puis après tout, on était plus à ça près après tout. J'avais envie de céder, je savais qu'il s'en fallait de peu, je n'avais jamais été si près d'elle, de l'embrasser, mais non, je ne devais pas craquer. Et pourtant je sentais la boule dans ma gorge, l'envie était là.. J'essayais de contrôler ma respiration, il le fallait, je n'avais pas le choix. « Mademoiselle, je dois vous dire qu'à partir de ce soir, je pense que cette pièce va devenir celle que je préfère également. » Je ne pensais pas avoir besoin d'en dire plus..

Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

J'avais l'impression que le temps s'était arrêté autour de nous. Elle me regardais, et ne me lâchait pas, et je faisait de même de mon côté. Je pense qu'il pouvait se passer quelque chose de fou autour de nous, que je ne le verrais même pas. J'avais une boule dans la gorge depuis un petit moment, pas par angoisse ni par peur, mais parce que je me retenais de ne pas lui sauter dessus. C'était de plus en plus dur, et j'avoue qu'on jouait chacun de notre côté assez bien le jeu. Elle était tellement belle et provocatrice, que j'avais vraiment du mal à garder mon sang froid. Disons que je ne voulais pas craquer pour que ce jeu dure éternellement, mais en même temps j'avais envie de savoir comment ça évoluerais si l'un de nous deux passais la seconde étape. Et là, elle contre moi et mes mains sur ses hanches, je me faisais des films sur ce qui pouvait arrivé. Je savais qu'elle aussi, mais je ne devais pas trop y réfléchir au risque de me laisser emporter par mon désir pour elle. Oui à ce stade ce n'était plus un simple jeu, enfin si mais il avait laissé place a un grand désir entre nous. Ça pouvait se voir dans le regard de l'un ou de l'autre. Je souris en entendant la raison pour laquelle c'est la pièce qu'elle préfère. « J'aime le danger .. » C'était devenu presque impossible d'aligner une phrase sans buguer au milieu de celle-ci. J'avais cependant réussi à lui poser une question qui était plus une affirmation qu'autre chose. Je l'observais, chacune de ses façons de me répondre me fascinait. Elle prenait le temps de répondre, trop de temps même, elle s'amusait encore avec mes nerfs. C'était devenu presque naturel d'agir ainsi, mais je patientais. J'avoue qu'à l'intérieur de moi ça bouillonnait, mais je ne voulais pas agir avant d'avoir eu mes réponses. Elle me regarda à nouveau avec un regard qui me fait fondre. Comme depuis le début de la soirée, mais à cet instant et dans cette pièce, j'avais l'impression que c'était plus intense. Est-ce mon cerveau qui l'interprète comme il le veut ? Peut-être. En tout cas, je pouvais voir des flammes dans ses pupilles, et elle pouvait surement voir la même chose dans les miennes. Surtout suite à sa réponse. « On verra donc lequel de nous deux se brûleras en premier mademoiselle. » Bon sang ses clins d’œil vont me rendre fou. Elle me rend dingue, mais je ne sais même pas comment lui dire. Je resserrais mon étreinte pour la presser un peu plus contre moi et sentir sa respiration perdre son rythme, surement comme la mienne en fait. On ne se lâche pas du regard, je pense que c'est ce que je préfère entre nous, le contact visuel. Quand on dansait tous les deux dans le bar, nous étions très proches également à un moment, mais elle me tournait le dos. À présent je pouvais voir l'intensité de son regard dans le mien, et j'avoue que ça ne m'aidais pas à retrouver une respiration normale. Elle me dit qu'elle adore déjà ma chambre et me refait un clin d’œil pour ponctuer la fin de sa phrase. Elle le fait exprès ou bien ? Je souris à nouveau comme un abrutit, et mon regard, même si je ne le vois pas, deviens plus sombre. Je le sais, je le sens, je me connais. En revanche, ce que je n'avais pas prévu, c'est que ce soit elle qui craque, à ce moment précis. J'étais surpris, mais en même temps tellement soulagé. L'embrasser signifiait que je n'avais plus besoin de mon self-control, plus besoin de faire attention à ne pas craquer. Je me laissais totalement aller à présent, fermant les yeux et savourant un contact bien trop proche et intense pour rester calme. Je sens mon cœur tambouriner plus fort que jamais dans ma poitrine quand sa main attrape mes cheveux. Je m'étais préparé à ça, je m'étais passer des milliers de fois ce scénario dans ma tête depuis le début de la soirée, et pourtant c'était encore mieux que ce que j'avais en tête. Elle me regarde ensuite avec un regard que j'adorais tout simplement, pour me dire que j'avais gagné. Un sourire fier, mais joueur s'invita alors. « Le jeu n'est pas terminé ma belle. » J'avais un regard noir, pas de haine, mais de désir. Je le savais et ma respiration était à présent incontrôlable. C'était sa faute, totalement, enfin c'est ce que j'essayais de me dire bien que je savais qu'on était tous les deux responsables de ce qui arriverait, ou pas, ensuite. Je me suis relevé du bureau, la gardant collée à moi avec mes mains qui n'avaient pas bougées et retournait la situation. Il n'y a pas de raison que je sois le seul à me sentir dans cet état jeune fille. À présent, j'étais collé à elle, mais c'était à son tour de se retrouver bloquée contre mon bureau. Un sourire joueur s'afficha sur mon visage. Cette situation m'amusais beaucoup, malgré que mon cerveau bouillonnait. Tous mes sens étaient à présent en éveil, et je n'étais pas sûr de me contrôler très longtemps. J'approchai ma tête de la sienne pour être proche au maximum de son oreille et chuchoter.. « La dompteuse s'est brûlée.. » Je fis exprès de parler très lentement et posa un simple baiser sur son cou. Je devais retourner la situation, elle avait prit trop d'avance dans le jeu en m'embrassant. Elle devait savoir qu'elle m'avait surpris et rendu fou en même temps. Il ne fallait pas que je me laisse distancer, je devais trouver un moyen de la déstabiliser à son tour. J'étais proche, bien trop proche d'elle, corporellement parlant je veux dire. J'étais légèrement plus grand qu'elle, et en l'embrassant dans le cou, je devais me coller entièrement à elle. C'était dangereux, vraiment, mais en même temps ça pouvait me permettre de rattraper mon retard sur ce qui n'était plus simplement un jeu de séduction à présent. Je ne devais pas oublier qu'en m'amusant ainsi, je perdais également mon contrôle sur moi-même..

Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

C'était un jeu dangereux, très dangereux, je pense même qu'on était plus tellement dans le jeu, mais plutôt dans une sorte de séduction, de défi à relevé. Le plus gros défi ce soir c'était sans doute de résister. On dit toujours "le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder" mais si on cède, il n'y à plus de tentation, et donc plus de défi, plus d'objectif. Cette fille c'était ma tentation, et je ne devais pas y céder, pas si facilement en tous cas. Enfin facilement c'était un grand mot, pour le moment je suis surtout en train de tout garder à l'intérieur de moi, de bouillir, d'imploser.. Elle me rendait fou, et je pense que le pire c'est qu'elle le savait, et qu'elle comptait jouer avec ce pouvoir jusqu’à ce que je craque. C'était intéressant de voir comment elle essayait de me faire lâcher prise, et moi de résister du mieux que je pouvais. Je souriais à sa phrase, effectivement je ne l'aurais pas amenée dans ma chambre si je n'étais pas conscient de ce qui allait s'y passer. Mais en même temps, peut-être que je le voulais, peut-être que c'était l'issue de la soirée que j'attendais ? Elle me faisait perdre mes moyens, ça c'était certain. Quand je retournais la situation, pour me laisser une marge de sécurité, elle avait l'air amusée. Et moi, je n'arrivais plus à rester tranquille. Elle l'a remarquée, je le sais. Elle s'amuse avec moi, m'attirant un peu plus vers elle, ce qui me fais l'effet qu'elle désire, évidemment. Je ne dois pas craquer, je ne dois pas craquer. Cette phrase se répétait infiniment dans ma tête. Pour le moment, ce n'était pas très efficace, et il s'en faudrait de peu pour que je craque à mon tour. Je la regarde avec des yeux certainement plus sombres que ce que j'aurais voulu, car elle ne s'arrêtait pas en si bon chemin. Elle savait qu'elle allait réussir à me faire lâcher prise, j'en étais persuadé. En vrai, je ne pouvais plus le cacher, ça devait se voir dans mes yeux, dans mes gestes.. Elle se rapprocha de moi, toujours un peu plus, je fixais ses lèvres, et elle les miennes. Nous nous rapprochions doucement, comme dans les films, sauf que cette fois j'étais le principal acteur. Je sentais que je perdais le contrôle, sur moi, ma respiration, mes pensées, et tout ce qui me tournais autour. Nos visages étaient à quelques centimètres l'un de l'autre, mais elle ne fit que s'approcher de mon oreilles pour me dire que j'allais bientôt craquer aussi. Evidemment, c'était voyant. J'inspirais profondément pour essayer de me calmer, sauf que je sentais sa respiration sur moi, elle était trop près, beaucoup trop près. Mes muscles étaient contractés, et je fermais les yeux. Je chuchotais également.. « Effectivement, il a cédé .. » Et je tournais la tête pour l'embrasser à mon tour, je ne pouvais pas tenir plus longtemps, c'était impossible. Cette fille était comme un aimant pour moi, et je pense que c'est réciproque. Mon sang n'avait fait qu'un tour dans tout mon corps quand une nouvelle fois le contact s'est produit. J'avais l'habitude du contact avec les femmes, mais avec elle c'était tellement différent, c'était juste.. incontrôlable. Je pense que je ne saurais pas mettre d'autres mots sur ce qui se passait, et en même temps, c'était juste tellement bon. Ma respiration ne se calmait pas, elle me rendait fou, il fallait que je reprenne mes esprits. Je la regardais ensuite, les yeux pétillants, et le souffle court. Je ne sais combien de temps je suis resté silencieux à l'observer, mais elle était juste tellement attirante. Je finis par sourire chaleureusement, et à m'écarter un peu d'elle. « Mademoiselle je pense que vous avez un pouvoir beaucoup trop attractif sur moi.. » C'était la continuité du jeu, maintenant on savait tout les deux que nous avions craqué, et qu'il faudrait se contenir pour ne pas aller trop vite. Personnellement, j'avais envie de continuer a jouer,  la provoquer, à la chercher. Il fallait que je fasse durer le plaisir, et je pense que le "fuis moi je te suis" est pas mal dans ce genre de situation. Je m'éloignais d'elle, pour l'attirer encore plus vers moi. Et je suis presque sûre qu'elle ferait de même si elle n'était pas coincée entre le bureau et moi. Je ne lâchais pas sa main pour autant, je n'avais fais qu'un pas en arrière, mais je tenais sa main fermement. Mon regard ne lâchais pas le sien, et je pense que si mes yeux pouvaient parler, elle pourrait entendre à quel point j'avais envie de l'embrasser encore, de l'avoir collée à moi, de sentir que ce que je ressens, elle le ressent aussi. J'avais la mâchoire serrée, c'était une façon pour moi de me contrôler, pourtant je ne pouvais retenir un sourire provocateur. Je lui lâche une main pour prendre son menton et tirer dessus pour qu'elle lâche sa lèvre de ses dents. « Arrête de faire ça.. » Bon sang, ce truc me rend fou. Oui, comme tout ce qu'elle à pu faire jusqu’à maintenant, mais là c'est pire. Je me rends compte que j'ai eu la voix plus grave que prévu en lui disant ça. Quand elle se mords les lèvres, mes yeux restent fixés sur sa bouche et ça ne m'aide pas à resté calme. Le problème, c'est que je la dévore des yeux, et que je ne sais pas si j'adore ou si je déteste qu'elle fasse ça. J'adore parce que ça me fais un effet de malade, mais en même temps je déteste ça parce que je me sens faible, je sais que je ne pourrais pas lui résister longtemps si elle s'amuse à faire ça. Je reste un moment le regard sur ses lèvres, et les remonte sur ses yeux.

Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

J'avais l'impression que l'on ne s'était pas lâché des yeux depuis le début de la soirée. C'est vrai, quand on y pense j'ai passé mon temps à l'observer, et quelque chose me dis qu'elle aussi a fait ça depuis qu'on est ensemble. Je ne comprends pas comment cette fille peut encore être célibataire, c'est fou, elle est tellement belle et intéressante. Pas dans le sens dégueulasse du terme, pas de la façon dont les pauvres mecs pensent. Non moi je la trouve intéressante dans le sens où elle a de la discussion, elle sait s'amuser, et en même temps de ce qu'elle m'a dit sur elle, elle a une vie plutôt remplie. J'en reviens à me dire que les hommes sont des idiots qui ne savent pas voir ce qu'ils ont sous les yeux. Personnellement, je ne vais pas m'en plaindre, au moins je peux être avec elle et prendre le temps de l'apprécier. Même si je sais que je risque de fortement l'apprécier, c'est étrange pour moi. Je n'ai pas l'habitude d'être bien avec une femme. Bien dans le sens où je n'ai pas envie que la soirée se termine, alors qu'avec les autres femmes je n'en avais rien à faire. Elles pouvaient partir, ne pas rester avec toute la nuit, ou rester et partir le lendemain, je m'en fichais pas mal. C'est étrange mais agréable en même temps. Mais je ne dois pas trop y penser, je risquerais de gâcher ma propre soirée improvisée alors que pour l'instant elle est parfaite. Elle me répond que c'est ce qu'elle voulait, me rendre fou, et elle conclut par ce clin d’œil qui ne m'aide pas à garder mon calme. Je ferme les yeux une seconde en inspirant très fort, il faut que je fasse redescendre la tension électrique qui règne dans la pièce sinon elle comme moi on sait qu'on ne passeras pas la soirée. Elle me cherche, ou plutôt on se cherche et ce depuis la danse. Je ne regrette tellement pas de l'avoir invitée à danser, je pense que c'est ce qui à tout déclenché entre nous. Nous avons tous les deux ce regard qui dit "je te veux maintenant" et c'est tendu. Aucun de nous ne veux lâcher le regard, et ça n'arrange rien ce qu'elle me fait par la suite. Elle répond à ce que je lui ai dis par la provocation, encore. Elle sait que j'adore ça, mais c'est bien le problème justement, j'aime beaucoup trop ça. Et je me connais, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme. Elle recommence, et mes yeux se fixent automatiquement sur sa bouche. Je sens une boule se former dans mon ventre et une fois de plus je serre la mâchoire du plus fort que je le peux, je ne dois pas craquer. Ce serait certes équitable étant donné que c'est elle qui a craquer en premier, mais je ne veux pas. Je suis fort, enfin j'essaie de me le persuader en tout cas, mais j'ai tellement l'impression de perdre le contrôle de mon propre corps avec elle. Je veux recommencer à l'arrêter mais elle me sert fermement les mains. Je ne peux retenir un sourire, et je pense que mes yeux sont plus sombres qu'ils ne l'ont jamais été, surtout après qu'elle m’ait dit qu'elle n'a jamais été une fille sage. C'est tellement contradictoire avec son visage d'ange, que je suis obligé de sourire. « Je n'en attendais pas moins d'une dompteuse de lions. » Oh mon dieu, ma voix est tellement plus grave que ce à quoi je m'attendais que j'en suis moi même surpris. C'est sa faute aussi, elle n'a qu'a pas être aussi attirante. Je sais, on dirait un gamin qui essaie de se persuadé que ce n'est pas sa faute, mais c'est vrai ! Je baisse doucement les yeux sur nos mains toujours entrelacées. J'ai toujours ce sourire abrutit sur le visage, et vu de l’extérieur on doit avoir l'air de deux enfants qui se cherchent et qui ne veulent pas aller trop vite parce qu'ils ne savent pas comment s'y prendre. En réalité, il y a un peu de vrai dans tout ça. Après tout je ne sais pas comment m'y prendre quand une femme me plait vraiment, plus que ce à quoi je me suis habitué en tout cas. Je relève les yeux vers elle, quand elle me dit qu'elle aime la façon dont je la regarde. Ah bon ? Et bien on est deux mademoiselle. Évidemment, cette phrase ne me fait pas perdre mon sourire, bien au contraire. Je me rapproche à nouveau d'elle, pour me coller au maximum à son corps et qu'elle soit de nouveau coincée entre moi et le bureau. Je l'observe avec un regard de braise depuis une bonne heure, bien avant que l'on soit chez moi d'ailleurs, mais je veux qu'elle le dise. Mes yeux dans les siens, j'adore ce que je vois. « Ah bon ? Et que vois-tu dans mes yeux alors ? » Après tout, même si je me connais, je ne me vois pas. Alors je sais ce que j'ai en tête, je sais ce que je veux, et je sais (ou plutôt je devine) que j'ai les pupilles plus dilatées que jamais, mais je veux qu'elle me dise avec ses mots ce qu'elle voit dans mon regard. Je souris, j'aime bien la situation dans laquelle nous sommes. Elle n'a aucune échappatoire possible, à moins de retourner une nouvelle fois la situation, mais je ne compte pas laisser une telle chose arrivée. J'ai déjà du mal à garder mon calme, alors je ne vais pas lui laisser une chance de me faire perdre encore plus mes moyens. Nos mains toujours enlacées, je les lui fait poser autour de mon cou, et l'attire une nouvelle fois contre moi. Nous ne pouvons pas être plus proche, c'est physiquement impossible. Je recule, encore et encore, de façon à me coller à mon lit sur lequel je m'appuie, et nous restons ainsi. Mes mains toujours sur ses hanches, je sens tous les muscles de mon dos et mon ventre se tendres au maximum. Je sais que c'est dangereux et que la situation peut très facilement se retourner contre moi à ce moment précis, mais j'aime le danger. On ne serait pas dans cette pièce sinon. J'attends donc patiemment qu'elle me réponde, et mes yeux se posent de nouveau sur ses lèvres. J'ai conscience que je parle de moins en moins, mais en même temps je contrôle de moins en moins ma voix aussi..

Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

C'était une soirée parfaite, juste ce qu'il me fallait. Je n'avais pas pour habituer d'apprécier qu'une femme me fasse languir, en vérité je déteste ça. J'aime avoir ce que je veux, quand je le veux. Mais avec elle c'était différent, limite si on avait craqué tout de suite, ça ne m'aurais pas plu. J'apprécie le contact qu'on à quand on se rapproche, la difficulté qu'on éprouve à s'éloigner pour garder un minimum de contrôle, en vérité je pense que j'adore ça même. C'est tentant d'aller plus loin, évidemment, mais si on craque, est-ce qu'on aura toujours la même envie de jouer ? Je ne sais pas. Je n'ai jamais joué d'une telle façon avec une femme, et d'un côté tant mieux, je suis heureux de le faire avec elle. Elle me rend fou, elle le sait, elle le voit. Mais je m'en fiche, j'aime ce que je ressens là tout de suite, et je n'échangerais ma place pour rien au monde. Je commence à me faire peur à moi-même, et si j'aimais vraiment trop ça ? Et si j'appréciais vraiment cette femme et passer du temps avec elle ? Je me suis promis de ne pas m'attacher, parce que ça fait bien trop mal quand on se détache. Est-ce que même j'ai envie de me détacher ? Je ne sais pas. Trop d'incertitudes me tourne en tête, et elle parvient à me faire redescendre sur terre quand elle me réponds. Un feu qui me consume, c'est tellement peu dire. J'ai l'impression que tous les membres de mon corps sont en train de s'embraser, et que rien ne peu l'arrêter. C'est très loin de faire mal, ce n'est pas un feu, c'est une chaleur, enivrante et très agréable. Je souris à sa réponse, c'est exactement ce que je ressens, elle à visé juste. Quand sa main descend sur mon bras, je sens comme de l’électricité sur ma peau. J'inspire fortement pour avaler le plus d'air frais possible, pour prendre de l'air là où j'en trouve, je pense que bientôt je n'aurais plus aucun contrôle de moi-même. Elle s'amuse avec moi, je le vois, et j'adore ça. Elle se rapproche de moi, et je serre la mâchoire, vieux reflex, comme si ça allait m'aider tiens ! Je sens sa respiration sur ma peau, et je ne quitte pas son regard. Bon sang ce qu'elle est belle ! « Je vois la même chose que ce que tu vois dans le mien. Une envie de jouer, de me montrer que tu as le contrôle sur ce que tu fais. Ça me plais, beaucoup. » Je ne sais pas si elle l'a vraiment, si elle est dans le même état que moi je peux assurer sans hésitation qu'elle ne l'a pas. Je ne bouge pas, nous sommes à quelques centimètre l'un de l'autre et je n'arrive pas à me défaire de son regard, que je découvre aussi sombre que le mien. C'est une bonne chose, je sais ce que ça veut dire, je sais ce que ça représente des yeux ainsi. Je dois surement avoir les mêmes, si ce n'est pire. Nous ne pouvons pas être plus collés l'un à l'autre, et c'est une tentation de plus qui se met entre nous. J'ai du mal à resté concentré, un mélange d'excitation et d'envie d'aller plus loin avec elle me déconcentre. Je respire bien trop vite par rapport à la normale, c'est bon et en même temps c'est effrayant de voir à quel point elle me fait perdre pieds. Quand elle se mords la lèvre, mes yeux se plantent sur sa bouche. Finalement peut-être qu'elle ne le fait pas exprès, un peu comme moi avec ma mâchoire. Si c'est le cas, c'est un nouveau signe de perte de contrôle, et ça me plais beaucoup. « Et je ne penses pas que tu l'ai vraiment ce contrôle, en tout cas tes yeux disent le contraire. » Elle me dis alors avec une voix qui ne m'aide pas du tout à reprendre mes esprits, qu'elle espère que je craque à nouveau. En vérité je ne suis pas loin de craquer. Je tire à nouveau sur son menton pour qu'elle lâche sa lèvre, et lui réponds avec une voix trop basse pour être normale. « Je ne saurais contredire une dompteuse de lions.. » Et je passe l'une de mes mains sur sa nuque pour rapprocher son visage du mien à nouveau. Doucement, bien trop doucement, je fais exprès de faire durer le geste. Je m'approche de ses lèvres pour y déposer un nouveau baiser. Si je ne me contrôlais pas, je pense que je ne saurais pas mettre fin à ce contact. Je ne saurais dire si ce geste est une libération, ou si ça empire la chose, en tout cas je me sens comme une personne morte de soif à qui on viens de donner à boire. Elle me rend complètement dingue cette fille, c'est impensable. Une main toujours dans sa nuque, je pose la deuxième sur ses hanches pendant que je l'embrasse pour la coller à moi, cette fois je ne compte pas la relâcher. J'inspire à nouveau brusquement quand les muscles de mon corps se serrent contre elle, calme toi Jake.. Calme toi ! Je devrais apprendre à la connaître avant de faire ça, mais bizarrement je n'ai pas peur. Je sais que nous avons, et que nous auront tous le temps d'apprendre à se connaître. Je suis confiant, je ne pense pas que c'est la dernière fois que nous nous voyons. En tout cas, je le sens, et j'espère vraiment qu'elle pense la même chose. Pendant que nous nous embrassons, je passe l'une de mes mains sous son teeshirt, juste dans le bas de son dos, je ne voudrais pas paraitre trop profiteur. Le simple contact de sa peau avec mes mains bouillantes me font accélérer les battements du cœur. Je ne comprends pas le désir en perpétuel expansion que j'ai pour cette femme. Pourquoi elle me rend ainsi ? Je ne sais pas. En tout cas, j'ai l'impression que je ne saurais plus rien contrôler si on continue ce genre de contacts. Une chaleur étouffante s'empare de moi.. D'accord, là, je vais craquer.

Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

Je pense que plus je la regarde, plus l'attraction est forte. En temps normal, je devrais détourner le regard, prendre de l'écart, faire attention, mais je n'en ai pas envie. Là, actuellement, j'ai envie de tester à la fois mes limites mais les siennes en même temps. J'ai envie de voir jusqu'où nous sommes capable d'aller avant de craquer, avant que l'attraction ne se fasse trop forte. Je sais qu'elle veut la même chose, surtout quand son regard change à nouveau quand elle prétends que ses yeux mentent. Je ne peux m'empêcher de sourire, elle ne m'aura pas ainsi, oh non. Nos visages étaient à quelques centimètres, et on ne bougeait pas. Nous savons que c'est dangereux, mais nous ne bougeons pas, pour se tester mutuellement. Je suis italien, j'aime les défis, et je sais qu'elle aussi. Ça se voit. Je place une main sur le côté de son visage pour lui caresser la joue de mon pouce. Elle est belle, bon sang c'est pas possible d'être aussi belle. « Les yeux ne mentent jamais ma belle.. » J'esquisse un sourire fière et provocateur, j'ai envie qu'elle comprenne que j'ai autant de contrôle qu'elle, c'est à dire aucun. Je sais qu'elle le voit, mais c'est un risque à prendre, je veux qu'elle en soit sûre. Elle à le regard tellement brillant, je ne sais pas comment je n'ai pas pu la remarquer avant. Une fille comme elle ça ne passe pas inaperçu, Jake tu as de la crotte dans les yeux. Je deviens fou, je me parle à moi-même. Quand on s'embrasse à nouveau, elle se serre un peu plus contre moi, assez pour que j'en perde à nouveau la tête, et surtout assez pour ne laisser aucun espace entre nous. Elle est totalement collée à moi et je ne peux, ou plutôt je ne veux plus la laisser reculer à nouveau. Cette fois nous sommes collés, nous nous embrassons, encore et encore. Nous savons, elle comme moi, que ça ne dureras pas éternellement ainsi, à un moment nous finirons par craquer et aller plus loin, mais ce jeu qui s'est installé est tellement bon que je ne sais pas si on a vraiment envie qu'il s'arrête. Les deux solutions sont tellement tentantes qu'on ne sait pas à l'avance comment ça va se passer. C'est surement ce qui nous tient si éveillés, si alerte du moindre mouvement. Elle arrête ce nouveau baiser pour passer ses mains dans mon dos, c'est fou j'ai l'impression d'être devenu hypersensible, comme si je ressentais tous ses mouvements en douze fois plus puissant. Je ne lâche pas son regard, et cette lèvre qu'elle mords à nouveau, je n'en peu plus. Je la dévore des yeux, et encore je pense que ce n'est même pas un mot assez puissant. Elle brise le contact visuel pour venir poser ses lèvres dans mon cou, et je pense que c'est une des choses les plus dangereuses qu'elle à faite jusque maintenant. Je ne saurais dire si ça viens de là ou du fait que ses mains parcourent encore mon dos de plus en plus bas, mais je suis parcourus de frissons qui me donnent a leur tour une chaleur étouffante. Je serre ma mâchoire à nouveau et instinctivement et à l'aide de mes mains toujours posées dans son dos, je la presse un peu plus contre moi. Là, tout de suite, si je n'avais pas la retenue dont je fais preuve depuis que nous avons franchit le seuil de ma porte, je pense que je lui aurait sauter dessus. Cette fille à un tel pouvoir attractif sur moi que s'en est presque effrayant. Elle s'éloigne alors de mon cou, et je ne sais pas si je suis soulagé de ses tortures ou si je suis déçu que ça s'arrête, tout se mélange dans ma tête. C'est étonnant et frustrant en même temps. Elle me dit alors que j'ai un pouvoir bien trop attractif sur elle. Non mais et elle alors ? Je ne peux m'empêcher de sourire comme un idiot avant de lui répondre. « Et bien.. Mademoiselle Williams.. Je pense que l'attirance est totalement réciproque.. Mais dis moi, en quoi ce n'est pas bien ? » Je pose cette dernière question sur un ton bien trop joueur et séducteur. Je m'amuse de quelque chose dont je n'ai pas le contrôle. Mais je fais exprès de faire des pauses au milieu de ma phrase. Premièrement pour laisser planer le doute sur ce que je vais dire ensuite, mais aussi parce que je suis totalement en train de perdre les pédales. Elle me fait perdre la tête, et je ne sais pas comment gérer ça. C'est la première fois que je ressens une telle attirance et en même temps une telle envie d'elle, et de m'amuser en même temps, ça fait un beau mélange de choses incompréhensibles dans ma tête. Mais c'est bon, c'est juste trop bon. Puis je me demande, est-ce que je dois lui dire que ce qu'elle vient de faire m'a rendu fou, ou est-ce que ça se voit ? Je pense que ça doit se voir. En vérité non je ne pense plus à rien, à pars à ses lèvres et ses mains dans mon dos, et ses yeux si sombres et brillants en même temps.. Il faut que je fasse quelque chose. Je me rapproche à nouveau de son oreille pour lui dire de ma voix la plus provocatrice possible « Tu me rends fou.. » Ce qui est totalement vrai, et pour la provoquer aussi un petit peu. Je veux qu'elle craque, pas par fierté de gagner ce jeu, mais parce que je veux tester ses limites, et voir jusqu'où elle peut tenir. Parce que j'ai envie de plus, de bien plus qu'un simple baiser, mais en même temps je ne veux pas la forcer. Je sais que ça viendra tout seul, mais j'ai envie d’accélérer les choses en faisant en sorte qu'elle perde la tête. Juste après lui avoir dis ça, je ne regarde pas sa réaction, je pose mes lèvres sur la base de son cou en remontant très légèrement mes mains dans son dos, en suivant sa colonne vertébrale, et en profitant pour la serrer toujours contre moi. J'aime sentir ce contact, et en même temps je sais que c'est le risque qu'elle en profite. Mais ce n'est pas grave. De toute façon j'ai dis que je ne voulais plus qu'elle s'éloigne de moi, même pour redescendre un peu sur Terre. Cette fois je veux nous tester jusqu'au bout. Mes muscles se serrent à nouveau, et je pense que là actuellement je ne suis qu'une boule de nerf qui se retient d'exploser. Elle à la peau surement aussi chaude que la mienne, je peux le sentir suite aux caresses de mes mains dans son dos. Bon sang il fait une chaleur ici, ce n'est pas normal ! Et puis les mots sortent d'eux-même. Ne dit-on pas que quand quelque chose sort tout seul, sans qu'on ne puisse le contrôler, c'est que c'est le fin fond de notre pensée ? Je ne sais plus, en tout cas, ceux-la je ne les ai pas contrôlés. « Voglio te.. » Littéralement cela signifie "je te veux" mais en langage plus clair, ça signifiait surtout que j'avais envie d'elle, et que je ne saurais pas me contrôler encore très longtemps. Le fait de parler italien n'est même pas volontaire. Je pense que finalement c'est moi qui vais craquer.

Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

Vous connaissez ce sentiment, quand vous avez l'impression que tout ce que vous tenez dans les mains vous échappe ? Quand vous vous trouver maladroit le temps d'une journée, ou parfois même le temps d'une simple petite heure ? C'est l'impression que j'avais à ce moment précis, je me sentais maladroit et en même temps plutôt sûr de moi. C'est très étrange comme sentiment. C'est tout et son contraire en même temps. J'étais bien, même très bien dans ses bras, et en même temps j'étais mal. Mal de me retenir, mal parce que je ne connaissais pas ces sentiments inconnus, et que l'inconnu m'effraie énormément. Pourtant j'avais pas l'intention de m'arrêter, et je pense qu'elle non plus. C'était envoûtant comme façon d'agir, de jouer. Oui voilà c'est ça le mot exact, j'étais comme envoûté. Quand elle m'a dit qu'elle était unique, j'avais envie de lui dire heureusement, sinon je n'aurais pas su ou donner de la tête. Je n'ai sût que lui sourire pourtant, en vérité c'est tout ce que j'étais capable de faire à cet instant. D'accord elle avait gagner le jeu, j'étais totalement perdu, j'avais perdu pieds, perdu la tête, perdu tout ce que vous voulez. Elle avait gagner le jeu, mais je ne voulait pas lui montrer. Quand elle me dit qu'elle serait capable de me sauter dessus, je sens toute mon épine dorsale se serrée et des frissons me parcourir de l'intérieur. Je ne pensais pas qu'une simple phrase pouvait provoquer un tel effet en moi. Savoir qu'elle me désir autant que moi je la désir, c'est quelque chose dont je ne me lasse pas. J'ai un sourire mystérieux au visage, et me racle la gorge avant de parler. « Peut-être que c'est mon but.. » J'aurais perdu contrôle de mon corps si elle ne l'avait pas fait avant moi. Ses mains passent sous mon tee-shirt, et mes yeux dans les siens lui en redemande encore. En vérité, j'aimerais arrêter le temps et ne jamais plus ressortir de cette chambre. Oh punaise cette chambre, je me souviens du début de notre conversation en entrant. Quand je lui ai dis que cette pièce serait à présent ma pièce préférée, j'avais tellement raison. Le problème, si s'en est un, c'est que maintenant je vais penser à elle constamment en rentrant dans ma chambre. C'est bon et en même temps dangereux. Quand elle ne sera plus là, avec moi, elle va me manquer, et je n'ai pas pour habitude de m'attacher a une femme. Cette fille provoque décidément en moi des sentiments inconnus mais qui m'ont l'air plutôt agréables. Et en parlant de sentiments agréables, sa réaction quand je lui parle en italien est tout à fait celle attendue, voir même encore mieux. A chaque fois que ses lèvres tombent sur les miennes, j'ai l'impression que c'est une explosion dans mon ventre. J'ai envie de la posséder pour des heures et des heures, j'aimerais ne jamais avoir à mettre fin à ces baisers. Quand elle releva la tête pour me dire qu'elle me voulait à son tour, je n'eu que quelques secondes pour reprendre mon souffle avant que ses lèvres n’atterrissent à nouveau sur les miennes. D'accord cette fois c'est finit, je ne tiendrais pas plus longtemps. Elle descend dans mon cou et je passe mes mains sous son haut à mon tour, sa peau est chaude et douce, c'est un bonheur. Je sens sa bouche poser des baisers dans mon cou, puis ses.. dents ? J'inspire profondément pour tenter de trouver de l'air frais ou je peux en trouver. Elle retire mon tee-shirt pour le balancer au travers de la pièce, et je sens que cette fois elle à craquer. C'est un soulagement. D'accord elle s'amuse, mais elle va me faire perdre pieds, totalement. Mais maintenant je n'ai plus à me retenir, nous avons craquer tout les deux. Je la regarde avec envie, et elle avec son sourire provocateur me donne envie d'aller beaucoup plus loin, là maintenant. Et malgré tout ça me fais comprendre que le jeu n'est pas terminé. C'est parfait, j'avais tellement peur qu'il se termine à l'instant où nous changerions de cap. Elle me dis que j'ai la peau douce, et soudain je redescend sur terre, enfin un petit peu. Je me rappel que j'ai toujours les mains sur elle, et j'en profite pour caresser son dos et son ventre, avant de retirer à mon tour son haut. Je souris une fois de plus, et lui réponds tant bien que mal malgré ma respiration instable. « Je te retourne le compliment ma belle.. Tu as un corps parfait.. » Je ne vais pas mentir, évidemment que je l'ai regardée, elle est parfaite. Et je ne risque pas de passer pour un pervers étant donner que depuis le début de la soirée, c'est ses yeux qui m'attire plus qu'autre chose. Elle à un visage d'ange magnifique, un corps parfait, un humour qui transmet une bonne humeur dans la seconde, et un rire qui ferais fondre un iceberg en une demie minute. Bref, cette fille est parfaite. Parfaite et dans une position de contrôle à cet instant précis. Tout s'est fait à une telle allure que je ne l'ai pas vu venir sur moi. Mes mains passent sur toute la longueur de ses bras pour arriver à ses épaules et son cou. Elle est belle, et maintenant elle n'a plus de haut. Je pourrais passer des heures à la regarder. Mes mains arrivent au niveau des bretelles de son soutien gorge et je suis le tissu jusqu'au milieu de son dos. Mes gestes sont tremblants, je sais ce que je fais mais c'est la première fois que je le fais avec une femme qui me plais réellement, et du coup je ne suis pas aussi sur de moi. Ou plutôt, je suis sur mais sans vouloir brusquer les choses. Pourtant elle me plais c'est un truc de malade. Et mon pouce se pose sur sa colonne vertébrale que je suis jusqu'au bas de ses reins, ou je pose mes mains pour la presser contre moi. Sa peau chaude contre la mienne me fais un bien fou. « Tu me rends fou, tu le sais ? »

Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

Des fois on à l'impression que le temps passe à une vitesse folle, et parfois que cela ralentit, voir s'arrête totalement. En ce moment c'était le cas, nous étions dans notre bulle et j'avais l'impression que le temps s'était arrêté. Je suis avec une femme qui me plais, nous jouons à nous provoquer comme jamais je n'avais jouer avant, et surtout on ne contrôle rien. Mais alors vraiment rien. Je ne sais pas pour elle, mais moi mes gestes sont à première vue tout calculé, alors qu'en vrai j'agis sur l'instant. Je ne sais pas ce que je vais faire la minute d'après, et jouer avec elle n'aide pas. Elle agis aussi sur l'instant, et en un rien de temps tout peut basculer. Surtout à cet instant. Je sens ses lèvres sur mon torse, et d'un coup la chaleur me monte jusqu'à la tête. Elle me fais un effet de fou, et c'est terrifiant de voir comme elle peut me maîtriser en quelques baisers. Elle s'amuse, et je lui rends la pareille. Je m'amuse avec son soutien gorge pendant qu'elle s'amuse à me donner chaud avec ses baisers. Elle remonte pour m'embrasser assez sauvagement et il n'en faut pas plus pour que je perde mes moyens. D'accord, là j'ai vraiment très envie d'elle, mais je ne veux pas précipité les choses. Je veux qu'elle perde la tête tout comme elle me la fait perdre aussi.  Quand elle me dit que c'était son but de me rendre fou, je n'en doute pas une seule seconde. Au moins nous avons un but en commun. Je veux qu'elle soit folle de moi, tout comme je suis fou d'elle à cet instant. Elle s'amuse ensuite avec mon jean et je deviens dingue. Des frissons me parcours le corps, et elle remonte vers mon visage pour me chuchoter à l'oreille qu'elle obtient toujours ce qu'elle veut. Je ne cache pas mon plaisir d'entendre ça, avec un grand sourire. Je pose mes mains de chaque côtés de ses hanches et retourne la situation. Je me retrouve alors sur elle, et plonge mes yeux dans les siens. Ma respiration n'est plus du tout régulière, et je ne peux m'empêcher de remarquer que la sienne non plus. Cette situation est à la fois excitante et amusante. Maintenant c'est moi qui ai le dessus -pour combien de temps ? - et c'est un bonheur. Je lui souris du sourire qu'elle aime tant et qu'elle à vu sur le cadre. L'avantage comme ça, c'est que je peux m'amuser comme elle l'a fait avec moi tout à l'heure. Je pose d'abord mes lèvres dans son cou, en prenant soin de bien appuyer mon bassin au sien, et lui murmure à mon tour dans l'oreille. « Une dompteuse doit faire face à la rébellion des fauves de temps en temps.. » Je ne peux m'empêcher de lui faire un clin d’œil et d'être fier de ma rébellion. Je sais qu'elle va perdre la tête à son tour, et c'est exactement ce que je veux. Je dessine alors une ligne imaginaire de baisers en partant de son cou et en descendant jusqu’à son nombril. Moi aussi je peux m'amuser à te rendre dingue mademoiselle. Je relève un peu la tête pour la regarder, et descend encore mes baisers jusqu’à la ceinture de son pantalon que j'ouvre sans aller plus loin. Juste le fait de défaire le bouton de son jean montre mon intention, mais je veux qu'elle se fasse des films sur tous ce que je pourrais faire. Je souris en relevant la tête pour la regarder. Je passe une main sur son ventre pour l'effleurer du bout de mes doigts afin de lui donner des frissons. Je la touche à peine, caressant son ventre de gauche à droite, et de droite à gauche. Elle à voulu me faire languir, alors je vais faire de même. Finalement je descends son pantalon pour la laisser uniquement en sous-vêtements sous mon regard qui la dévore. Bon sang elle est tellement belle. Je m'assois alors au niveau de ses genoux, et passe les mains sur ses jambes, puis ses cuisses. Mon regard passe de ses yeux à sa bouche. Je ne sais pas ce qui me prends, je n'ai pas envie de brusquer les choses, et pourtant j'ai tellement envie d'elle. Je souris et caresse son corps de ses jambes, en remontant sur son ventre, puis en passant sur sa poitrine, et pour finir sur son visage. Je passe ma main sur le côté de son visage, et caresse sa lèvre inférieure avant de l'embrasser à nouveau. Je m'étouffe tellement j'ai chaud, j'en peu plus. Je pose l'un de mes avant bras sur le côté de sa tête pour soutenir mon poids. Je me retrouve maintenant allongé sur elle, mon torse nu contre son corps presque entièrement nu aussi. Sa peau est chaude, et mon corps commence à trembler tellement j'ai envie d'elle. Elle à réussi son coup, je suis complètement dingue d'elle. J'en ai presque oublié notre jeu de séduction, maintenant impossible de savoir qui à perdu. Y a t-il vraiment un perdant, quand on obtient tous les deux ce que nous voulons ? « Bien joué mademoiselle, je suis dingue de vous.. » J'attrape son lobe entre mes dents et pousse à nouveau le bas de mon corps contre elle. Elle est en sous-vêtements et j'ai envie de découvrir chacune des parcelles de son corps sous mes caresses et mes baisers.

Ceelyana S. Williams &' Jake A. Armani

Tout est une question de feeling, quoi que l'on fasse dans la vie avec quelqu'un. Si tu veux jouer, tu dois avoir un joueur en face de toi également, sinon ça ne passera pas. Tu dois être persévérant et aimer le danger, le risque de te faire recaler. Et bien dans cette situation c'était exactement pareil. S'il n'y avait pas eu ce feeling entre nous dès le départ, dès la première phrase que j'ai pu lui sortir, est-ce que nous serions ici à cet instant ? C'est très difficile de se rattraper quand la première impression est mauvaise, mais là c'était loin d'être le cas. Tout se passait merveilleusement bien, elle était réceptive a mes approches et je ne peux pas dire que moi je ne l'était pas. Je me rends compte de la chance que j'ai d'être là, a cet instant, avec elle. Nous nous entendons à merveille pour une première soirée, et c'est loin de se terminer. J'ai l'impression que l'on peut se dire énormément de choses rien qu'avec le regard, et elle a un regard magnifique, je ne cesserais de le dire. "Ce genre de rebellions sont vraiment mes préférées.." Je ne peux m'empêcher d'arquer un sourcil en souriant. Ben tiens, comme si elle allait dire non maintenant. Tout son corps, idem au mien, est en surchauffe. Chaque fois que sa main effleure ma peau j'ai comme un courant électrique qui me parcours le corps, chaque fois que sa bouche touche la mienne j'en ai le souffle coupé, et c'est une sensation inconnue mais loin d'être désagréable. « Je vais réfléchir à me rebeller plus souvent alors.. » Je ne peux m'empêcher de lui faire un sourire séducteur et joueur en même temps. C'était à la fois une façon de m'amuser avec elle comme on le fait depuis le début de la soirée, mais aussi et surtout un message pour lui faire comprendre que je prévoyais de la voir encore et encore. Je suis bien avec elle, même si ça ne fait qu'une soirée, alors je ne vois pas pourquoi j'aurais envie d'arrêter. J'imagine qu'elle l'as compris, mais j'ai trop peu de confiance en moi pour en être certain, surtout dans une situation que je ne connais pas comme celle que je suis en train de vivre. Elle me sourit et je sens bouger son corps, je sais que mes caresses ne la laisse pas insensible et j'adore ça. Elle me confirme alors qu'elle est dans le même état que moi, tout en profitant de cet instant pour me rendre un peu plus dingue que je ne le suis déjà. Je ne sais pas comment ça va évoluer par la suite, mais je ne donnerais ma place à personne dans le monde à cet instant précis. Il n'y a qu'elle et moi, juste nous et notre jeu, qui n'en est plus vraiment un maintenant. La partie "jeu de séduction" est terminée maintenant, il ne reste plus que cette tension, ce désir qui flotte autour de nous. Elle inverse alors une fois de plus les rôles, et elle à l'air d'y prendre un malin plaisir. Moi ça me va, j'ai une vue exceptionnel sur son corps et je m'en lasse pas. Elle se rapproche de moi pour m'embrasser et mon cœur ne tarde pas à s'emballer à nouveau. Bon sang heureusement qu'elle ne peut pas l'entendre, sinon elle saurait depuis longtemps que j'ai perdu pieds. Je ne saurais décrire ce qui se passe à l’intérieur de moi en ce moment, c'est un feu, un énorme brasier qui rempli chacune des parties de mon corps. Je ne pense pas avoir déjà eu envie de quelqu'un à ce point là, et je sais qu'elle en profite de son côté. J'adore ça, mais ça me fais perdre toutes notions de moi-même. Elle m'enlève alors le bas de ma tenue, ce qui me laisse juste en boxer sous ses caresses. Elle en profite pour préciser que c'est pour rendre la situation équitable, mais je préfère penser que c'est pour se venger. Elle me fait un clin d’œil -j'adore ça- et pose ses lèvres sur le bas de mon ventre. Un soupire bien trop fort à mon gout sort de ma bouche, montrant que c'est une zone érogène, et lui laissant deviner que c'est un bon moyen de jouer avec moi. « Effectivement, je suis pour l'égalité aussi ! » Sur ces mots, je dégrafe son soutien-gorge pour la laisser dans la même tenue que moi, c'est à dire qu'il ne lui reste plus qu'un seul morceau de tissu qui la sépare de la nudité complète. Évidemment moi, j'ai un avantage sur elle. Les femmes cachent deux parties intimes de leur corps, alors que les hommes n'en cache qu'une seule. Je le fait doucement glisser le long de ses bras pour l'enlever totalement et, ne lâchant pas ses yeux, je la remercie silencieusement d'avoir retourné la situation un peu avant. Ma position me convient très bien à cet instant précis. Elle à décidé de me faire perdre la tête, et son prochain geste y arrive parfaitement. Je suis maintenant totalement nu, complètement abandonné sous ses caresses. Si j'avais déjà le regard noir, ça ne doit surement être rien à comparer de cet instant. Je tremble maintenant, et mon corps se cambre légèrement quand je sens ses mains s'amuser avec moi. J'ai envie d'elle, c'est impossible d'avoir autant de désir pour quelqu'un. Je pose alors instinctivement mes mains sur son ventre que je caresse en profitant de sa position pour passer mon index sous l'élastique du seul bas qui lui reste maintenant. Sans dire de l'enlever, juste pour m'amuser, pour la faire languir, pour lui laisser imaginer tous ce que je pourrais faire maintenant. « Maintenant ce n'est plus très équitable.. » Je prends un air faussement innocent suite à cette phrase. Je sais qu'elle va en profiter et ça m'amuse. J'aimerais la voir rougir, juste une fois, juste parce que je trouve ça magnifique. Elle est toujours sur moi, et je relève le haut de mon corps pour m'asseoir sur le lit et la coller à moi. Nos corps sont brulants, et j'en profite pour passer mes mains sur sa peau douce. Ses jambes, ses cuisses, son ventre, sa poitrine, tout y passe et je ne laisse pas une seconde de repos entre chacun de mes gestes. J'ai envie et besoin de reprendre l'avantage, sinon c'est certain je vais devenir fou. Totalement dingue. Je cale ma tête dans son cou et mordille sa peau en passant une main dans son dos pour la coller un peu plus contre moi, et en profiter pour la descendre au creux de ses reins. On pourrait penser que je gère totalement la situation, que je sais exactement ce que je fais en posant mes mains à tel ou tel endroit mais honnêtement je n'en ai aucune idée. Tout viens totalement naturellement avec elle, et c'est un vrai bonheur.