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 Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY

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Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  Empty
MessageSujet: Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  EmptySam 29 Juin - 12:57


Penny Miyah Oxburry

AGE ◮ 21 ans ; DATE DE NAISSANCE ◮ 08 septembre ; LIEU DE NAISSANCE ◮ New-York (officieusement); Manchester (officiellement) ; NATIONALITE ◮ Américaine & anglaise ; STATUT CIVIL ◮ Célibataire ; ORIENTATION SEXUELLE ◮ hétérosexuelle ;  EMPLOI/ÉTUDES ◮ étudiante en droit ; GROUPE ◮ UES ; AVATAR ◮ Emily Van Camp ; CRÉDITS ◮ écrire ici.
 

I ask you everything

C'est l'heure des questions baby, répond avec sincérité. Développer vos réponses, ne vous contentez pas de oui ou de non.
Depuis combien de temps est-tu à New-York ? J'ai effectué mon retour il y a 7 mois
Que penses-tu de la guerre élite/gggb ? Franchement, cette guerre est totalement débile.
Crois-tu qu'un jour tu pourrais prendre parti/as-tu choisi ton camp ? Non, je ne pense pas, dans les deux côtés, ils sont tous aussi insupportable.
As-tu des proches impliqué dans la guerre ?: Mon cousin, mais sinon ça s'arrête là, je pense.
Selon toi, qui sortira vaincueur? : Je m'en fous complètement, c'est bien qu'ils se détruisent mutuellement.
Que penses-tu de New-York : Une ville horrible. Les pires hypocrites se trouvent ici.
Quels sont tes activités favorites ? : hum.. Dormir. C'est bien dormir.
Tu sens-tu en sécurité à New-York? : Pas du tout, mais je me sens confiante, c'est le plus important.
Veux-tu rester à New-York jusqu'à la fin de tes jours ? : Absolument pas.
Penses-tu avoi des amis sincères ? : L'amitié, c'est pas mon truc.
Qu'est-ce que tu aimerais changer dans cette ville : Sa population, tout simplement.
C'est quoi ton plat préféré ? & ton style de musique et tous ces trucs là : Mon plat préféré, des spaghettis à la bolognaise, j'écoute tout type de musique, je ne suis pas difficile après t'as rien à savoir.
Tu m'aimes ? : Non désolé, j'ai un coeur de pierre.


This is my part

« A croire que la vie est conçue dans un seul but, celui d'un destin commun. Celui d'un père et de sa fille, d'un frère et de sa sœur, d'une mère et de son enfant. Les liens du sang sont inflexible car ils sont éternels. Mais ce sont nos choix qui renforcent nos liens. Ainsi ils peuvent véritablement éclairer la route sur laquelle nous voyageons. L'amour contre la haine. La fidélité contre la trahison. Le véritable destin d'une personne ne peut être révélé qu'à la fin de son voyage, et mon histoire est loin d'être terminé. »
Le 21 juin 1998 – maison des Stone, NY, USA
Une journée qui s’annonçait bien. Cette journée a marqué toute ma famille et c’est à partir de ce jour là que ma vie a véritablement pris un virage à 180 degrés. J’avais six ans et j’étais dans ma chambre entrain de jouer avec mes poupées. Je l’ai encore d’ailleurs, c’est mon père qui me l’avait offerte. Une petite brune, avec le teint clair, comme moi enfaites. Mon grand-frère et ma sœur était là aussi mais ils s’occupaient à autre chose. Ma mère préparait le diner. C’était une journée des plus banales et qui reflétait notre vie quotidienne. Mon père au travail, parti gagner des millions, on était heureux. Rien n’avait réussi à troubler notre bonheur, et pourtant. On frappa à la porte de notre maison. Je n’y prêtais pas attention continuant d’inventer l’histoire de ma poupée. J’entendis un grand cri dans la maison, c’était ma mère, je descendis les escaliers à pleine vitesse et je voyais plein de policier qui fouillait notre maison. Je me rappelle encore ne pas avoir compris ce qu’il me passait et ma mère qui commençait à s’énerver contre les inspecteurs. « Mon mari est innocent ! Qu’est-ce que vous pensez trouver ? » il lui demanda de se calmer mais elle s’énervait encore plus et elle commençait à vouloir aller porter plainte. Je restais en plein milieu de l’escalier, incapable de bouger, mon frère et ma sœur était à côté de ma mère et ils étaient saisis comme la panique, tout comme moi. Un policier me demanda de me pousser, les larmes montaient, je me retournais et je voyais ma chambre complètement retourné. Un policier appela son chef, et la mine du policier changeait en un instant « Et vous disiez que votre mari ne pouvait pas faire ça madame ? Il serait peut-être bien que vous nous accompagniez, on a quelques questions à vous posez ! » il avait son air arrogant, chose que je déteste, je revois encore très précisément son visage. Chaque nuit, il hante mes souvenirs, ma mère nous a déposés chez la voisine, et elle est partie avec les policiers. Je me rappelle ne pas avoir voulu la lâcher, ça a été une véritable torture d’être séparé de ma mère à ce moment. Je revois encore ces larmes « Lily, Evan prenez votre petite sœur ! » et je la voyais disparaitre avec ces messieurs, l’âme en peine, si elle savait ce qu’on lui réservait.

Je ne pensais pas que ce jour changerait autant une vie. A partir de ce moment-là, je n’ai jamais revu mon père franchir le seuil de la porte. Ils l’ont transféré à la prison de New-York pour 5 homicides volontaires, on traitait mon père de tueur en série. On était traqué par la presse, le voisinage nous a complètement fermé les portes car ma mère a refusé de croire qu’il était coupable. Il a toujours clamé son innocence. Elle l’a toujours soutenue, et nous aussi. Les au revoirs au parloir se faisaient toujours dans la douleur. On m’arrachait à lui, et je n’ai jamais plus vu la vie de la même manière. Ma mère n’avait pas de preuves de son innocence mais tout correspondait, mon père était le coupable idéale. Plus personne ne voulait me parler après cette histoire, j’étais complètement isolée, c’était pareil pour mes ainées. On avait notre bande à trois, c’est sans doute pour ça qu’on est tellement proche, ma mère nous a déscolarisée. Les gens allaient trop loin, on avait le droit à « C’est bien fait pour votre père ! » « On devrait vous tuer aussi, vous êtes de la même graine qu’eux ! » une véritable sortie pour aller faire les courses, c’était un véritable calvaire.  C’était tellement dur. On a attendu que le procès de mon père se fasse. Il a été reconnu coupable et condamné à mourir. J’avais dix ans lorsqu’il est mort, le procès a été très médiatisé. Mon père a dû changer plusieurs fois d’avocats. Ma mère gardait tous, tous les gens qu’elle voulait voir payer. Les gens de New-York en premier. Mon père n’aurait jamais pu faire ça. L’heure des meurtres étaient quand mon père était au bureau et aucun de ses employés n’a voulu le défendre. Une fois, le meurtre était en pleine nuit et ma mère était sure qu’il était à la maison.  Ils se sont plus ou moins enrichis sur son dos, racontant de fausses histoires. Ma mère n’a pas voulu qu’on assiste à l’exécution, du coup, je n’ai pas pu dire au revoir à mon père. Ce souvenir m’est trop pénible. Le 22 septembre 2002, mon père était mort. Mort parce qu’on l’a piégé. Mort parce que tout le monde l’a abandonné sauf sa véritable famille.

Le 14 novembre 2002 – Manchester, Angleterre.
« Une nouvelle vie mes enfants ! » ma mère poussa la porte de notre nouvelle maison. Depuis la mort de mon père, ma mère était comme éteinte. On l’était tous. On avait déménagé relativement vite, on voulait tout oublier et se reconstruire ailleurs. Les cartons étaient déjà dans la maison. J’avais ma main dans celle de mon grand-frère. C’était lui mon repère masculin. On fit le tour du propriétaire et on prit chacun notre chambre. Ma mère avait déjà tout disposé. Elle était très organisée comme femme. La première chose que ma mère fit, c’était de déposer un cadre de notre père tout en embrassant sa photo. Mon frère alla la prendre dans ses bras. Ma sœur m’emmenait jouer avec elle tout en passant son bras autour de mes épaules. Elle monta ensuite en disant « N’oubliez pas, vous ne vous appelez plus Stone, mais Oxburry. Lilly, tu t’appelles Heaven, Evan tu t’appelles Thomas, et Miyah, ma puce, c’est Penny ! Repetez après moi ! » et on s’entrainait à ne pas faire d’erreurs mais ce n’était pas une vie de mentir. On avait pas le choix pourtant. On ne voulait pas se faire traiter comme avant. Miyah était désormais enterré faites place à Penny. « Maman, pourquoi on est obligé de mentir ? J'aime bien Miyah moi. » dis-je avec une petite mine boudeuse. Elle essayait de me sourire, sa bouche se tordait mais c'était loin d'être son plus radieux sourire. Elle déposa un bisous sur mon front en disant « Tu seras toujours Miyah mon ange, mais on a pas le choix de mentir, des gens nous veulent du mal. N'oublie jamais d'où tu viens et quel homme merveilleux a été ton père même si on t'affirmera le contraire » c'était top secret, personne ne devait savoir que Danny Stone était mon père, ça j'avais compris mais moi, j'en étais fière, à cette époque là, je ne connaissais pas toute l'affaire.

On s’installait rapidement à Manchester. A l’école, je m’étais très vite fait des amis. Ca changeait de New-York mais j’étais craintive. Mon frère et ma sœur étaient toujours là pour me protéger, heureusement que je les ai. Ils n’étaient jamais loin derrière moi. Les anglais n’avait pas fait le rapprochement Stone, l’affaire classée il y a quelques mois, heureusement pour nous. Je me sentais beaucoup mieux, mais mon père me manquait horriblement. Ma mère était toujours triste, je l’entendais pleurer le soir dans sa chambre alors qu’on était entrain de dormir. Elle se retenait tous les jours, je la voyais regarder les cassettes de son mariage, de notre naissance et de tous les beaux jours que nous avions passé en famille. Elle ne voulait pas refaire sa vie, l’homme qu’elle voulait était mort.

13 janvier 2008 – Manchester, Angleterre
Ma mère n’allait pas bien, on a du l’hospitalisé d’urgences à l’hôpital. Elle s’était évanouie sous les yeux de mon grand-frère qui a du la conduire rapidement aux urgences, ma sœur et moi étions en cours. Il passa nous prendre et nous conduire au chevet de notre mère. Elle était toute pâle, ça me faisait peur. Ma mère essayait de nous rassurer et me prit ma main et prit la main de ma sœur de l’autre côté, mon frère se joignit à nous et posa sa main sur une des mains de ma mère, auprès de ma sœur, il était paniqué, je pleurais, ma sœur pleurait. Mon frère ne disait rien, il était secoué. « Je vais bien, ne vous en faites pas ! » essaya-t-elle de nous rassurer avec son jolie petit sourire, malgré tout, les larmes continuaient de couler toute seule. Je ne voulais pas la perdre, pas elle, je me tournait vers mon frère et ma sœur. Le médecin arriva, sans expression sur son visage. « Madame Oxburry, je dois vous parler.. Seule ! » elle avala difficilement sa salive en gardant son petit sourire sur le visage. Mon frère prit ma sœur par l’épaule et j’avais l’impression que le cauchemar recommençait. Je cramponnais la main de ma mère un peu plus fort. « Ma puce, ça va aller ! » continua ma mère de sa voix si douce. Mon frère laissa ma sœur dans le couloir et partit me chercher, pourtant je ne lâchais pas. « S’il te plait Penny ! » ma mère lâcha ma main en première tout en fermant les yeux. Je courrais vers elle mais dans le vide, mon frère me tenait fermement et me fit sortir de force de la chambre. Il ferma la porte et me posait sur le sol. Je le regardais en disant « T’avais pas le droit ! » je commençais à le frapper tout en lui foutant des coups de poings mais il me calma rapidement, me serrant contre lui, ma grande sœur vient nous rejoindre et elle nous sert tous les deux dans ses bras. Heureusement qu’on était unie. « Calme toi Penny, si ça se trouve, ce n’est rien ! » essaya de me rassurer ma sœur. Je lui fis un petit sourire, elle avait sans doute raison. « Maman nous a dit que tout allait bien, elle était peut-être fatigué ! » me dit mon frère. Je ne sais pas qui ils essayaient le plus de convaincre, eux ou moi ? Le médecin sortit ensuite quelques minutes plus tard tandis qu’on faisait un bloc, il posa sa main sur l’épaule de mon frère en disant « Faudra être fort ! » et ses mots là m’alarmaient instantanément. On rentrait dans la chambre aussitôt et ma mère ne pleurait pas, elle était encore plus blanche, sa paleur faisait vraiment peur. J’attendais qu’elle parle, je pris la main de mon frère et de ma sœur et je les serrais très fort. Ma sœur commençait à pleurer et mon frère restait impassible. « Maman, dis nous que tout vas bien ! » dit mon frère alors que le silence était pesant. Elle se tournait vers nous et elle se mit à pleurer. Voir ma mère qui pleure personnellement, ça m’arrache le cœur. Elle hoche la tête négativement et elle n’ose pas nous regarder. « Maman, dis-nous ce qu’il se passe ! » supplia ma sœur et les sanglots de ma mère reprennent de plus belles. Je fronçais les sourcils, j’avais envie de m’énerver, c’était insupportable d’attendre. « J’ai un cancer mes bébés ! » Et là, la bombe. Je me tournais vers mon frère qui continuait à ne rien dire, ma sœur se mit à pleurer avec ma mère qui n’osait même pas nous regarder. Mon frère lâcha violemment ma main et il partit. Ma sœur allait dans les bras de ma mère et moi, j’étais assommée, je n’étais pas sur d’avoir tout compris. Je regardais ma mère comme si j’attendais la fin de la chute de la blague mais il n’y en avait pas. Je réagis bien plus tard et j’allais rejoindre mon frère qui venait de s’exploser la main contre un mur. « C’est eux qui ont réussi, ces enculés ! » sa main était en sang et j’avais bien envie de tourner de l’œil. « C’est eux qui lui ont filé ce putain de cancer ! » et il tapait à nouveau sur sa main. « Arrête s’il te plait ! » j’essayais de m’approcher de lui mais il m’écarta. « Va-t-en Penny ! » m’ordonna-t-il avec tant de colère. Je ne savais pas de quoi il était réellement capable. « Maman a besoin de nous, elle va se battre ! On va se battre pour elle. » essayais-je de le rassurer. « Allez viens, on va voir un médecin ! » après tout il en grouillait ici et mon frère se mit à pleurer, je ne l’ai pas vu verser une larme depuis le décès de mon père. Je le pris dans mes bras. Il en avait bien besoin et je l’emmenais voir un médecin.

J’étais la petite dernière et sur ce coup-là, j’avais réussi à tenir le coup, je ne réalisais pas, pour moi, ce n’était pas possible, elle ne pouvait pas être malade. Ma mère, c’était la plus forte des femmes. J’ai voulu tout lâché pour être chaque jour au près d’elle mais aucun d’entre eux n’a voulu. Mon frère a lâché ses études pour être avec elle à plein temps. Elle a perdu ses cheveux avec la chimio. Elle était fatigué et toute pâle. Je détestais réellement New-York, mon frère et ma sœur avait raison, si elle est dans cet état, c’est leur faute. Elle nous parle de plus en plus de notre père et elle veut être belle le jour où elle partira le retrouver. Elle nous confie tous ces moments de joie, elle m’apprend à cuisiner, elle me forge un véritable caractère de battante ainsi qu’à mes ainés, elle ne veut pas qu’on se venge mais le cancer, ça était la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Je haïssais de plus en plus une haine profonde, au dire de mes ainées et de ma mère. Ma mère donna un petit carnet avec les noms de tous les gens qui avaient salis mon père. Tout New-York nous avait trainés dans la boue. C’est pour ça qu’elle nous entrainait. Elle nous connaissait, elle était fière de nous, elle nous le répétait chaque jour, je passais mon diplôme et consacré les deux dernières entièrement à elle. Sa faiblesse me transperçait le cœur, le cancer avait progressé, chaque jour, on l’a veillé. Notre mère, c’est notre dieu. Ca a encore plus renforcé les liens entre nous. On a exécuté ses dernières volontés avant de mourir, elle était tellement heureuse et souriante.

01 octobre 2012 – Manchester, Royaume-Uni.
« Je suis rentrée mes amours ! J’ai acheté plein de truc à manger avec les doigts. » dis-je dans la maison et j’entends des sanglots. Je lâche le sac de course et je monte tout de suite carrément inquiète, le bruit des sanglots guident mes pas, je m’attends au pire. Ma sœur est dans les bras de mon frère qui lui caresse les cheveux, je dévie mon regard et je vois ma mère, toute blanche et on a l’impression qu’elle dort, un ange, on dirait un ange. Je touche ses pieds qui sont froids. Mon frère a les larmes aux yeux, je n’arrive pas à réaliser. « Maman, s’il te plait ! » dis-je comme si ça allait la réveiller. Je m’approchais du lit. « Maman, maman, maman, MAMAN ! » hurlais-je tout en commençant à sangloter. Je serre ma mère contre moi. Comme si je pouvais lui donner ma vie en échange de la sienne. Je continuais de pleurer et les médecins arrivent ensuite. Ils constatent le décès et nous disent qu’ils sont désolés. Mon frère et ma sœur me serrent contre eux, et ma sœur qui ne cesse de répéter que c’est fini. Ma mère est morte comme elle voulait, elle était très belle. J’ai tellement besoin d’eux, je me laisse aller, je pleure tout ce que j’ai. L’enterrement se déroule dans la douleur la plus insupportable. Les voisins sont venus et sont derrières nous, personne de la famille n’est là en même temps, on en veut pas. Nous sommes réunis devant une petite rivière près de Manchester. Je continue de pleurer et ma sœur me serre très fort contre elle, nous jetons ses cendres et quelques roses. Les personnes présents nous souhaitent leur plus sincères condoléances. Ca me fout la rage mais en même temps dans ces situations là, il n’y a que ça à faire. J’ai mal, sa y officiellement, mes deux parents sont morts.

05 octobre 2012 – Manchester
« On doit y aller Penny ! Pour papa et maman ! » hurla mon frère. On était tellement obligé de mentir que ça passe naturellement. Penny, ce n’est normalement pas mon nom, mais je l’aime bien et c’est mon père qui l’avait choisi donc, je préfère aussi. On venait d’enterrer ma mère la veille et Thomas et Heaven voulait déjà qu’on retourne à New-York. Laissez-moi le temps de respirer. « Je n’ai pas envie, je sais que je vais tous leur cracher à la gueule ! » leur dis-je ensuite, ma sœur me regardait, elle savait qu’il ne fallait pas toucher à la famille, c’était comme ça chez nous. Je n’étais pas chaude, pas maintenant, c’était le meilleur moyen de commettre des erreurs. « Réfléchis soeurette, on peut se faire passer pour des victimes, si on peut gagner leur confiance, c’est maintenant ! » répondit mon frère. Je voyais très bien où mon frère voulait en venir, j’allais répondre mais ma sœur me devança aussitôt. « J’ai pas envie d’utiliser la mort de maman ! » protesta ma sœur, je fis un signe pour dire que j’étais d’accord avec elle. C’était petit et notre mère il fallait la laisser en paix. Cette revanche, on devait la faire pour nos parents mais il y avait certaines limites. « Mais je suis d’accord avec Ev’ on doit la faire maintenant ! » je soupirais. « Ils ont tués nos parents. On ne peut pas les laisser s’en tirer comme ça. Mais va y Mi’ continue de faire ton égoiste. Reste ici, à faire ta petite vie, comme s’il ne s’était jamais rien passé ! » Ce n’était pas le moment de me sortir des trucs comme ça. Ma sœur ne bronchait pas et je regardais mon frère en me levant précipitamment. « T’es vraiment qu’un salaud pour le coup. » et je partais dehors en les plantant. Les larmes montaient mais ne sortaient pas, hors de question. J’entendis des pas sur le perron de la porte. « Il s’en veut, il ne le pensait pas mais c’est pas facile. On doit être prêt Pen' on ne doit pas se laisser avoir par nos faiblesses. » c’était bien ma sœur ça. Avec les autres elle était froide comme de la glace, mais avec nous, elle jouait les médiatrices, ça marchait toujours comme ça entre nous. On ne pouvait pas se mentir, c’était déjà trop pénible de le faire tout le temps même si au final, on s’habitue. « Ca va on oublie, on va le peaufiner ce plan, allez ! »
On partait fin novembre 2012, direction, la pire ville du monde. Je n’étais pas du tout enchantée.

Sept mois qu’on est à New-York, sept mois que je m’y fais pas. On doit jouer la gentille petite famille parfaite des Oxburry et faut dire qu’on la joue bien. On se fait passer pour des anges aux yeux de la population et du quartier, on a emménagé dans une belle maison, situé pas loin de notre ancienne maison. On se la joue unis et discret. J’ai repris mes études, pour faire du droit, ça allait être plus facile bien que cela ne me passionne pas. Je vais à Yale. C’est mon frère qui a choisi pour moi ça ne me dérange pas. On fait un repérage des gens, des cibles à abattre, dès mon arrivée, mon cousin Jules nous a démasqué, il est le seul que j’ai laissé faire. Pourtant, je ne le mets au courant de rien, enfin presque rien. Notre plan de vengeance, il est dans notre tête et dans la petite boite que notre mère nous a donné qui est très bien caché. Personne ne peut la trouver et personne ne connait réellement nos intentions. Je suis froide et j’aime ça, j’aime paraitre inaccessible, il parait que c’est beaucoup plus tentant, je sais très bien jouer la comédie grâce à ma mère, les New-Yorkais n’ont pas de chance. Prépare-toi New-York, j’arrive pour détruire tes maitres.


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PSEUDO ◮ WILD.HAPINESS; PRENOM ◮ haha ; AGE ◮ haha ; COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ◮ j'suis trop vieille ici, tout le monde me connait ; TU LE TROUVES COMMENT ◮ joker ; PRESENCE ◮  sur 7 ; UN PETIT MOT ◮ tenez vous à carreau les sales gosses ; CODE ◮ Thyb', Lullaby & Cee c'est les meilleurs x)



Dernière édition par Penny M. Oxburry le Sam 29 Juin - 16:29, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  EmptySam 29 Juin - 13:19

HAAN J'ADORE LE TITRE DE TA FICHE *-* En plus le dernière épisode que j'ai regardé de Revenge c'était celui-là xDDD

Re-Bienvenue I love you
Courage pour ta fiche Very Happy

xo, S.
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MessageSujet: Re: Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  EmptySam 29 Juin - 13:22

Je suis faaaaaaaaaan :reed

Re bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuue I love you

bonne chance pour ta fichounette nyuh
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MessageSujet: Re: Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  EmptySam 29 Juin - 14:30

Ton perso va déchirer :tombe:
Re bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  EmptySam 29 Juin - 15:13

Merci beaucoup vous trois nyuh coeur :reed
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MessageSujet: Re: Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  EmptySam 29 Juin - 16:42




Bravo, te voilà enfin un New-Yorkais

Jj'pense que t'es un minimum de la maison, soooo t'as pas besoin d'explication xDDD

Et en plus tu sais quoi tu rejoins la team Cognac pour notre petit jeu de l'été, si tu veux voir avec qui tu es rends-toi ici
Tu peux maintenant poster où tu le souhaites. N'oublie pas d'aller recenser ton avatar.
Tu peux aller faire tes demandes, tes liens, tes topics, flooder et tout ce que tu veux.
Encore un grand merci. N'hésites pas à harceler le staff en cas de questions ils te répondront avec plaisir.
J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous



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MessageSujet: Re: Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  EmptySam 29 Juin - 16:43

Oui c'est ma maison, merci coeur :reed I love you
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MessageSujet: Re: Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  EmptySam 29 Juin - 21:37

Re-Bienvenue :lapin1 
Excellent choix d'avatar :bave: 
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MessageSujet: Re: Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin  ✈ PENNY  EmptySam 29 Juin - 21:53

Re Bienvenue :reed
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Dans la société les femmes sont considérées comme le "sexe faible", mais dans la nature la femelle peut être bien plus féroce que son homologue masculin ✈ PENNY

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