Aloysius D. Hazelwood &' Jake A. Armani

Je venais de sortir de mon long entrainement de sport avec Aloys, et j'avais une soif du tonnerre. Mais comment faire pour trouver un bar dans un quartier que l'on ne connais pas ? Je n'en sais rien. Me voila partit à la recherche d'un endroit accueillant pour me désaltérer dans un lieu calme et reposant. J'étais épuisé, mais je savais qu'après une bonne boisson fraîche je serais de nouveau sur pieds. J'écoutais ce nouvel artiste que le jeune allemand venait de me faire découvrir quand un bar attira mon attention. Il était parfait ! Très beau et peu de monde donc le calme était surement au rendez-vous. Je suis entré et ait commander un grand soda bien frais au serveur, puis je suis allé m'installer dans le fond de la salle. EN m’asseyant j'ai sentit que mes jambes me remerciaient, je pense que j'ai un peu trop forcer entre mon sport personnel et mon coaching avec Aloys aujourd'hui. Je suis vidé de toutes mes forces. Sortant mon téléphone de ma poche pour couper la musique, je parcourrais un instant les réseaux sociaux quand quelqu'un vint perturber mon instant de repos. Une espèce de voix venant de nulle part, qui hurlait on-ne-sais-quoi à on-ne-sais-qui. En tout cas le pauvre homme sur qui cette furie était en train d'hurler donnait l'impression de ne rien comprendre à qui était en train de se passer sous ses yeux. Cette femme l'agressait verbalement et lui ne bougeait pas, trop surpris par la situation. Je décidais de me lever quand elle se mit à critiquer les gens de cette ville. « Excuse moi ?! Pourquoi te permets-tu de critiquer les gens d'ici pour une simple bousculade ? De plus, il me semble que tu ne regardais pas non plus ou tu allais, sinon tu aurais su l'éviter cet homme. Alors ne mélange pas ta petite vie de bourgeoise avec la vie des gens d'ici qui sont des personnes respectables. Contrairement à d'autres.... » Ma dernière phrase était clairement un reproche mais je ne supporte pas ces riches qui se permettent de rabaisser les gens à faible revenus. Parce que c'était clairement le cas. D'accord je ne la connaissais pas cette femme et peut-être que je me trompais totalement sur son compte, mais à ses manières j'aurais mis ma main à couper qu'elle était blindée d'argent et que son passe temps favoris était de martyriser les gens de basse catégorie. Puis je restais un instant à la regarder, avant de me souvenir de qui elle était. Bon sang, j'avais visé juste. « Tiens.. Blair Waldorf. La cible favorite de Gossip Girl. Je comprends mieux pourquoi tu t'en prends à cet homme. On ne se connais pas mais ta réputation te colle parfaitement bien à la peau. » J'avais décider de haïr cette femme.