AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Bienvenue sur la nouvelle version de GGTR !
Wolfyface, galuche_cauet, wild.hapiness, littlem et .QUEENA sont ravies de vous présenter leur nouveau projet
Nous recherchons les personnages de la série
Blair, Serena, Vanessa, Dan, Jenny... Viens jeter un coup d'oeil
Charlotte Archibald recherche son époux
Alors n'hésite pas à prendre Nathaniel Archibald, je suis persuadée qu'elle te fera plein de bébés et de bons gâteaux au chocolat.
Ceelyana Williams recherche son futur copain -ou pas-
Si tu veux plus d'info c'est par ici
N'hésite pas à te faire parrainer
Si tu te sens perdu ou que tu as peur de ne pas t'intégrer.
Le topic commun va être bientôt lancé
Alors inscris-toi vite !
Louys recherche sa soeur jumelle
La jolie Madeline est attendue avec impatience..
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Partagez
 

 Tyler Lawson

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Invité
avatar

Invité


information
My life

Tyler Lawson Empty
MessageSujet: Tyler Lawson Tyler Lawson EmptyMer 11 Mar - 18:07


Tyler M. LAWSON



Tygrou'
Tyler ne boit pas beaucoup d'alcool en dehors des grands évènements. A un rire très distinctif, conduit très vite sans vraiment faire attention aux autres conducteurs. Aime beaucoup les Smoothies, les glaces. De nature flemmard, il a pourtant un look de garçon sérieux. Il est passionné de littérature, adore faire du sport entres amis (même s'il n'est pas forcément très bon). Hétérosexuel, il fait preuve d'un romantisme à tout épreuve. Peu avoir de grands accès de rage, dans ce genre de cas il se reporte sur le mobilier.
carte d'identité

Salut tout le monde, moi c'est Tyler Matthis Lawson. Ouais, moi aussi je trouve ça plutôt cool mais on m'appelle aussi Ty'/Tigrou'. Je suis âgé(e) de 25 ans. C'est cool hein ? Je suis pas trop vieux. D'ailleurs n'oublies pas de me souhaiter mon anniversaire car c'est le 24 Novembre et je suis né à New York, donc tu peux en déduire que je suis Américain, c'est ce qui fait mon charme. Dis-moi que tu sais où ça se trouve New-York ? Non parce que sinon, je fais une crise cardiaque. Savoir où se trouve New-York, c'est quand même la base, j'habite dans la plus grande ville cosmopolite. Bref, je suis célibataire, et j'aime les femmes. Je fais partie du groupe des orchidées  et j'en suis fier. Des fois, des gens m'accostent dans la rue en me demandant si je ne suis pas Dave Franc, ils sont vraiment fous ces américains non ? D'ailleurs mon avatar a été réalisé par Ghost.Writer


L'heure des questions

Depuis combien de temps es-tu à New-York ? Je suis à New York depuis ma naissance même si j'ai voyagé un petit peu étant plus jeune.
Que penses-tu de la guerre entre les deux clans ? On pourrait écrire un livre assez drôle sur le conflit, c'est tout.
Crois-tu qu'un jour tu pourrais prendre parti/as-tu déjà choisi ton camp ? Je suis professeur, alors prendre position dans cette guéguerre c'est impossible. Pour l'instant je n'ai  rien remarqué dans mes classes ce qui est plutôt positif.
As-tu des proches impliqués dans la guerre ? Pas à ma connaissance
Selon toi, qui en sortira vainqueur ? Franchement? Ce sont pour la plus grande parts des adolescents ou des jeunes adultes. Avec des liasses de billet et un penchant pour le champagne en quantité industrielle. Ils n'ont ni bazooka ni chars donc il faut arrêter de toute façon d'appeler ça une guerre. Après moi comme dans Grease, je parie sur le camps de Danny Zuko! 
Que penses-tu de New-York ? New York? C'est THE city. Regardez How I Met Your Mother, vous verrez, c'est la meilleure ville au monde. Tout est magique à New York. Et rien que de dire Brodway suffit pour montrer à quel point cette ville est sensationnelle.
Quels sont tes activités favorites ? Livre, voir des amis, faire la fête, les foots dans les parcs et les ballades dans les rues le soir.
Te sens-tu en sécurité à New-York ? Absolument! Moi le seul truc qui me fait vraiment peur, ce sont les touristes. Franchement, s'arrêter en plein trottoir pour prendre une photo d'un vulgaire bâtiment, c'est un coup à se faire percuter par un New Yorkais armé d'un smoothie si vous voyez ce que je veux dire. 

Veux-tu rester à New-York jusqu'à la fin de tes jours ? J'espère que je pourrais oui.
Penses-tu avoir des amis sincères ? Un en particulier. Aloysius. Un vrai ami. Comme Chewbacca avec Han Solo ou Roméo avec Mercusio. Je sais que je peux  lui faire confiance, il ne me fera jamais de tord, ne me trahira jamais. Le meilleur pote possible!
Qu'aimerais-tu changer dans cette ville ? Les Feux Rouges. Sincèrement, suis-je le seul à trouver qu'ils restent trop longtemps sur le rouge? On attend des plombes pour pouvoir passer, et après ils se plaignent que les profs arrivent en retard, franchement.
Quel est ton plat préféré, ton style de musique et toutes les autres choses de ce genre ? Plat: bacon et oeufs. Un vrai régal. Mais je mange équilibré sinon, pour contrebalancer les soirées où je me lâche. J'adore les smoothies. J'écoute de tout en musique. En voiture, ce sont des trucs qui donne la pêche, et que j'arrive à chanter. Je suis un professionnel du programme du cinéma de mon coin.
Tu m'aimes ? tu es comme dirait Bénabar :"un concentré de femme idéal, en la diluant dans l'eau t'obtiens dix filles normales" Wink

pseudo ◊ Tygrou' ; prénom ◊ Yvan ; âge ◊ 18 ; pays ◊ France ; comment tu as découvert le forum ? ◊ J'y étais inscrit avant (Sous le pseudo de.... Tyler M. Lawson ^^') ; ce que tu penses du forum ◊ Il est majestueux et tellement accueillant! ; activité ◊ 3/7 je pense ; un dernier mot? ◊ Désolé pour la dernière fois... Je vous adore tous! ;
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar

Invité


information
My life

Tyler Lawson Empty
MessageSujet: Re: Tyler Lawson Tyler Lawson EmptyMer 11 Mar - 18:09


Dans un mois, dans un an,

comment souffrirons-nous,

Seigneur, que tant de mers

 me séparent de vous?

Que le jour recommence 

et que le jour finisse,

sans que jamais Titus

 puisse voir Bérénice,

[Racine]


Je suis né le 24 novembre 1988 (c’était Thanksgiving ce jours-là). Alors quand tout le monde s’empiffrait de dinde, ma mère en sortait une de son ventre. Je lui ai demandé des années après, et elle m’a dit qu’elle ne m’en voulait pas de l’avoir empêcher de manger cette année là pour Thanksgiving. Bon, trêve d’anecdote me comparant à une dinde (je pesais quand même 4kg 250g, pour vous dire) et passons à ma vie. Alors, comment commencer ?

Je suis né trois ans après que mes parents se soient mariés.
Mon père est un très grand avocat spécialisé dans le droit d’entreprise, et ma mère travaille dans l’immobilier, elle vend de super grands appartements à des gens plus riches que certains pays du globe. Ils ne font pas partis de l’élite, mais qu’importe, je n’ai jamais manqué de rien, c’est l’important.

J’ai grandit à New York donc. En primaire, j’étais dans la moyenne. Avec des capacités, on s’en sort facilement ces années là, et je n’avais pas de raison d’être le plus fort. D’ailleurs à l’époque, il valait mieux être celui qui rigolait que celui qui levait le doigt pour répondre. Les enfants sont plutôt impitoyables à cet âge là et ne supporte pas qu’on leur montre qu’ils ne sont pas aussi incroyables que ce que leur font penser leurs parents. Croyez-moi, c’était plus sûr d’être le cancre, que l’intello. La tendance commençait à s’inverser au collège. Il ne fallait ni être trop stupide, ni trop bon. C’est dans cette période que j’ai excellé.
Au collège, j’étais quelqu’un de cool. C’est bête à dire, mais j’avais ce petit truc qui fait que quand les filles vous regardent, elles vous adressent un petit sourire en espérant que vous vous approchiez pour lui parler. Etait-ce mon sourire ? Mon côté « je m’en fiche » même du point de vue scolaire ? Ma façon de parler ? Un peu des trois je pense, et je m’en servais bien entendu. Ne vous trompez pas cependant, ce n’est pas parce que je parlais en cours, que je disais que je ne révisais pas les contrôles de vocabulaire et que j’expliquais que j’y allais au talent que je ne travaillais pas. Chaque soir quand je rentrais, je passais une heure minimum à réviser, même les jours où on n’avait pas de devoir. C’était ma mère qui l’avait décidé, et croyez moi, vous n’aimeriez pas la contredire, même s’il s’avère que c’est vous qui avez raison.

Comme vous avez l’air d’aimer les anecdotes, en voici une. J’ai été une fois premier dans ma scolarité. C’était en quatrième, je m’étais entiché d’une jolie blonde. Elle s’appelait Kathlyn. Elle n’était pas dans les meilleurs de la classe mais travaillait dur pour comprendre et ne supportait pas qu’on parle et chahute en cours. Tout ce qui comptait pour elle, c’était les résultats. Elle ne voulait pas sortir en ville le mercredi après midi, ni aller voir un film le dimanche, encore moins avec un garçon comme moi. Alors j’ai changé. J’ai travaillé vraiment comme un fou, apprenant par cœur les identités remarquable, le théorème de Thalès, de Pythagore, les figures de styles, les « Sono Tyler. Abito a New York » et autres bêtises. J’ai finis premier ce trimestre-ci, et je l’ai donc invité au cinéma. On est sortit ensemble quelques semaines puis j’ai rompu. Franchement, j’en avais marre qu’elle me demande toujours de l’aider à comprendre ses exos de mathématiques. En plus, elle voulait toujours que je me mette à côté d’elle en cours, la barbe. En plus, je suis vite sorti avec une autre fille dont je ne me rappelle plus le nom. Après tout ça fait très longtemps, il y a prescription.

Je partais chaque année en Allemagne voir une de mes tantes. Chaque fois que j’arrivais chez elle, je me demandais comment elle pouvait faire partie de ma famille. Je vous explique : mon père est né en Amérique de parents américains. Notre lignée provient de français qui ont immigrés dès la découverte des Etats-Unis. Pourtant, cette dame qui clamait être la sœur de mon père, avait plus les traits d’une teutonne que d’une Lawson. Et quand je dis teutonne, je parle de celle qu’on a tous déjà vu en caricature dans un dessin animé, avec deux grosses nattes rousses, un tablier à carreaux bleus et blancs, et en surcharge pondérale importante. Et à chaque fois je revenais, et à chaque fois elle me prenait dans ces bras en m’écrasant pour déposer ses lèvres baveuses sur ma joue. On dirait que je la haïs, mais ce n’est que retour d’ascenseur. Elle m’a fait manger les plats les plus dégoutants que j’ai jamais goutés, me donnait un lit grinçant et des couvertures miteuses. Elle me faisait la leçon quand je restais devant la télévision. J’appelais chaque jours mes parents pour dire qu’elle me battait, et elle dans son coin leur mentait en racontant que j’étais mal poli. Ce voyage annuel c’est arrêté pendant ma première année de lycée. J’ai eu chez elle une intoxication alimentaire qui me tint alité pendant deux mois. (quand je vous disais que sa nourriture était dégoutante !. Après ça, mes parents me laissaient partir avec une bande d’amis où on voulait sur le globe plutôt que d’aller chez ma teigne de tante. J’ai donc visité Paris plusieurs fois, Rome, Florence, Séville… C’est là que m’est venu mon amour pour l’étranger. En plus de ça, mon père ma mère et moi partions dans des pays beaucoup plus éloignés pendant les grandes vacances. C’est avec eux que j’ai découvert l’Afrique, la Russie, le Viêt-Nam ou encore l’Australie.

Je ne suis sorti avec qu’une seule fille pendant mes années de lycée. Elle s’appelait Rebecca. Châtain, plutôt petite, elle rayonnait de joie à longueur de journée. C’est elle qui a rompu, elle m’a largué pour un joueur de football, tout ça parce que je faisais des efforts en cours. Oui, moi aussi j’ai été surpris par une raison aussi bête. J’ai alors enchaîné les soirées, au lieu des relations, privilégiant l’amitié à l’amour. C’est la que j’ai découvert l’alcool et la drogue. Je ne faisais pas partis des plus riches de mon lycée, mais comme j’étais un gars sympa et plutôt classe, j’étais invité à pas mal de soirée organisé par l’élite de mon lycée. J’avais fais quelques fêtes quand j’étais dans mon petit collège, mais ça n’avait absolument rien à voir avec leur définition de la fête. Je suis allés dans tous les immeubles les plus huppés de toute la ville, là où les hôtes ne me connaissaient même pas, c’est dire le nombre de personnes qu’il y avait. Il m’arrivait même de reconnaître des appartements que ma mère m’avait fait visiter le week-end pour s’amuser. C’est à ce moment là que j’ai compris pourquoi ma mère avait rajouté le terme « de luxe » après le « agent immobilier » sur ses cartes de travail. Là-bas, la seule chose qu’il y avait plus que de l’or, des diamants et des bijoux se trouvait être l’alcool et les rails de poudre de la fée clochette, cette fameuse poudre qui fait planer. Je goutais à ma première cuite en première (vous voyez, quand je vous disais que j’étais un gentil garçon qui écoute ses parents) et je passais une année où tous mes souvenirs sont flous, même les cours de mathématiques. Je ne sais pas comment j’ai fait pour ne pas redoubler ou être renvoyé. Je n’étais lucide que pendant l’heure où je devais travailler le soir et pour le repas avec mes parents. Après je sortais avec quelques amis et on restait dehors ou chez l’un des membres à boire jusqu’au début des cours. Ma rupture avec Rebecca m’avait vraiment fait souffrir et j’étais dans une spirale d’autodestruction. Heureusement je ne faisais que boire, je ne touchais pas à la drogue. Sinon, j’aurais sûrement finis dans une ruelle aussi froid que peux l’être un stupide môme mort d’une overdose.

C’était une période très drôle. Je passais mes journées hors de chez moi, ne repassait que pour manger, travailler (sous l’œil attentif de ma mère) et me changer, pourtant je restais bon en cours. Je ne comptais pas gâcher toute ma vie non plus à cause de cette fille. Une année, c’était déjà pas mal. A la fin, je séchais même les cours de lettres. Le prof n’était pas passionnant. C’est comme ça que mes parents ont découvert mon lamentable état. Je suis rentré à la maison un soir, une semaine avant les vacances d’hiver, ma mère m’attendait avec un bouquin. Pas le genre de livre sortie d’une librairie avec le marque page et le ticket de caisse à l’intérieur non. Là c’était plus le genre qu’on manipule avec des pincettes tant il a déjà été rapiécé. Le titre n’était même pas lisible sur la page de couverture c’est dire le mauvais état de la liasse de papier. Je ne vous parle même pas de la quatrième de couverture. Bref, ma mère m’a dispensé de travail pour ce soir là et m’a demandé de lire ça à la place. J’ai donc pris l’assemblage de feuille, pour le lire pendant une heure avant de sortir discrètement de ma chambre. J’ai passé la nuit debout, ou plutôt allongé dans mon lit, à dévorer ce livre. Il était cours, très cours, mais je le relisais encore et encore. Et à chaque ligne que je lisais de l’alcool s’évaporait de moi et je récupérais le contrôle. Le lendemain je sortais à nouveau avec mes potes mais cette fois je ne touchais pas à l’alcool. J’avais un verre dans la main, et je rigolais avec eux, comme eux, mais je n’avais plus besoin de liquide pour être drôle. L’alcool est fait pour ceux qui sont timides et n’osent pas aller vers les gens ou pour ceux qui ne savent pas être drôle et rire sans ça. Mais moi, avec ma gueule d’ange et mon humour, je n’avais pas besoin de ça pour passer de bonnes soirées.

En terminale, je continuais le rythme effréné des soirées en renouant peu à peu avec la gent féminine. Rien de sérieux, toutefois je redécouvrais avec plaisir que les filles que je côtoyais n’étaient pas insensible à mes charmes, loin de là. Mais ça ne restais qu’un jeu pour moi, je m’en fichais éperdument. C’était juste qu’une façon de flatter mon égo, comme quand on a une super appréciation pour une dissertation. J’ai donc eut mon diplôme avec mention très bien et je suis partis directement en lettre supérieur, sans me poser de question. Là-bas on était trois mecs pour environs vingt filles, et pas des moches. J’ai passé mes quatre années à jongler entres les soirées, les mauvaises notes, la joie et la dépression. Les cours étaient très durs et on étais tous sous pression mental, de peur d’échouer à chaque fois. Et je sais ce que vous vous dites : un playboy comme moi, beau parleur qui plus est, qui s’amuse à draguer et va beaucoup dans des fêtes a dut avoir beaucoup d’aventures d’un soir. Et bien non. Je ne l’ai fait qu’une fois.

C’était à une soirée après que je me sois tapé un 2 en dissertation. J’étais en quête de réconfort et j’ai tenté de brancher une fille que j’avais déjà aperçue à plusieurs soirées. Une jolie fille. Voilà que je l’aborde tranquillement auprès du bar, en lui proposant un verre de champagne. (oui, les soirées restaient toujours très « chic » même dans la dépravation) La voilà qui rigole à toutes mes blagues. Elle s’appelait Emily, avait un sourire radieux une belle robe bleue nuit, sans oublier un collier de rêve, représentant des mains entrelaçant un cœur. Je crois même qu’elle me l’a donné, enfin bon, passons. La suite de la soirée se passe dans les meilleurs conditions possibles : on danse, elle boit, rigole, je la fais rire et elle me regarde. Quand je dis elle me regarde, ce n’est pas juste ses yeux posées sur moi, mais une vrai déclaration de désir et de passion qui frappe mon corps à l’endroit où ses deux perles de pluie me fixent. Alors que l’ambiance de la fête redescend lentement, elle me propose d’aller chez elle. Je vois dans son visage qu’elle n’est pas habituée à laisser des hommes rentrer dans sa vie, encore moins dans son appartement. En arrivant devant l’immeuble, je reconnu les lieux. J’y étais déjà venue avec ma mère. Son appartement se trouvait en face de celui que ma mère m’avait fait visiter. Il était très grand, presque trop grand pour une seule personne. Tout était rangé, le sol avait été lavé peu de temps avant. Sa chambre possédait un lit deux places. Les draps étaient propres, en satin noir. Je me rappel m’être même demandé si c’était moi ou elle qui comptais avoir un coup d’un soir. Et donc voilà. Ce qu’on ne vous dit pas sur les coups d’un soir, c’est que pour que ça ne dure qu’un soir, il faut se lever avant l’autre personne. Sinon c’est un coup d’un soir et d’un matin. Et d’un coup, c’est plus dur pour s’éclipser. Donc petit problème, je suis un très gros dormeur. Oui, c’est bien ce que vous imaginez. Je me suis réveillé à midi, comme un blaireau. Elle était entrain de faire son déjeuner quand je me suis pointé avec juste une montre dans sa cuisine (oui, parce que je n’arrivais pas à trouver mes habits, et pour cause elle avait renversé du vin dessus et les avait donc mis dans une machine à laver. Pratique, quand on espère prendre la tangente ni vue ni connue…)pour lui dire bonjour. Forcément j’ai du attendre que la machine termine du coup, et j’ai donc mangé avec elle le repas après l’avoir aidé à le préparer. Je vous connais, vous vous demandez si j’étais nu ou pas pour laver la salade et manger en tête à tête. Elle m’a prêté une chemise à elle et une serviette. Vais-je osé le dire ? D’accord, le pire, c’est que la chemise m’allait. Et bizarrement, cette fille que je ne devais connaitre que pour une soirée c’est révélée être ma copine pendant trois mois, avant qu’elle ne rompe avec moi pour retourner avec son ex. Oui, j’ai rarement de la chance avec les relations à long terme. En tout cas, c’est la seule fois où j’ai essayé d’avoir une aventure d’un soir.

Après mon diplôme (oui, tout les autres font une pause après le bac, moi je le fait genre quatre années plus tard), j’ai pu partir en Europe pour un an. Mon avion a atterrit en France où j’ai séjourné un ou deux mois. Mon père était contre ce voyage d’agrément, ce qui fait que c’est moi qui ai du payer. Autrement dit, je n’étais pas dans un très bel hôtel à proprement parler. L’avantage, c’est que j’ai put être accueilli par de super familles. Après la France direction l’Allemagne (non, je ne suis pas allé chez ma tante, vous êtes fous ou quoi ?), puis la République Tchèque, avant de finir en Italie. J’ai fais beaucoup de tourisme, rencontré pas mal de gens, de mon âge, mais parfois non. Des locaux tout comme des touristes. Des jolies filles et des moins belles. Des personnes drôles et des pots de colles. J’étais triste de revenir dans mon pays après avoir vu tant de chose, mais bon, il fallait que les New Yorkais puissent aussi profiter de ma présence quand même, vous ne croyez pas ? J’ai eu la chance d’être pris à Constance Billard pour remplacer leur professeur de lettre qui partait en retraite. Ils m’avaient choisit moi pour mes excellents résultats, et parce que j’avais une certaine façon de voir le monde qui devait se rapprocher des élèves puisque j’avais à peu près leur âge.

Pour être honnête, j’avais mal au ventre toute ma première semaine. Je n’ai jamais eut une très belle écriture, et mon premier schéma réalisé au tableau fut un moment de souffrance pur. Mais ça fit rire les élèves. Ma première année se passa bien, j’étais proche de mes élèves, et faire cours était plaisant. Il m’arrivait de rigoler avec eux. Beaucoup de gens pensent que le métier de professeur est quelque chose de nul et inintéressant. Ceux qui pensent cela n’ont jamais eut plus de vingt personne buvant leur paroles, et qui nous regardent avec des yeux pétillants de génie, et qui viennent nous voir à la fin pour nous confier quelque chose d’intime : leur gouts littéraires. Certains boivent, d’autres fument ou se droguent, moi je me shoote à l’enseignement. J’ai souvent été le centre d’attention de beaucoup de personne en cours. Là je le suis à jamais. Ca peut sembler arrogant, mais ceux qui pensent cela ne se rendent pas compte à quel point un enseignant (qui est respecté bien entendu) se sent proche du chanteur que les gens vont voir en concert. Notre devoir, c’est que tout le monde soit content d’être venue. Et c’était le cas pendant mes deux premières années. On dit jamais deux sans trois ? Et bien on a tord.

Début d’année, dernier cours de la journée :
Alors que j’explique quelque chose de compliqué à propos de Fitzgerald et sa relation avec sa femme Zelda, une des élèves parle avec sa camarade. J’ai beau la fixer des yeux elle s’en fiche. Il y a quelque chose de différent chez elle. Est-ce sont indescriptible beauté ? Sa capacité à me troubler dans mes explications ? Est-ce qu’elle s’en rendait compte au moins ? Elle me regardait avec cet air qu’ont certains jeunes, vous savez, ceux qui pensent « colle moi, je n’attends que ça. » J’ai donc continué mon cours, et lui ai demandé de rester à la fin de l’heure. Elle sourit à cette phrase, comme si elle s’attendait à ce que je lui dise cela. Comme si, en prononçant ces mots, j’avais perdu la petite guerre qu’elle me livrait. J’étais battu, je n’avais pas fait mieux à ses yeux que tous les autres blaireaux qu’elle avait eut comme professeur avant moi. A la fin de l’heure elle vint devant mon bureau. Je n’avais pas remarqué à quel point ses yeux étaient bleus d’aussi loin, si bien que j’ai faillis lui faire la remarque. Comme remontrance, vous conviendrez qu’on a fait mieux. C’était la dernière heure et elle ne semblait pas pressée. Je commençais donc une discussion avec elle comme si nous étions de vieux amis. Elle fut surprise au début mais rentra rapidement dans mon jeu. Elle me parlait de sa dernière soirée, et je lui racontais quelques anecdotes sur mes collègues. Plus on parlait, et plus son sourire s’approchait du mien. D’abord de façon anodine, puis rapidement il était très clair que c’était nos cœur qui nous poussaient à l’encontre de l’individu en face de nous. Sans même m’en rendre compte, j’avais collé mes lèvres sur les siennes gorgées de passion pendant qu’elle passait sa main droite dans mes cheveux, comme pour m’empêcher de fuir cette étreinte. Comme si j’aurais pu en avoir envie franchement ? Je n’avais jamais eût pareil créature divine dans mes bras. Alors que n’importe quel homme aurait arrêter ce baiser, je la faisais basculer sur mon bureau (en reculant mon pied gauche contre la porte de la classe, j’étais plein de désir, pas de stupidité quand même)pour accentuer l’intensité du moment. Je ne sais pas comment j’ai pu me résigner à la lâcher, mais une chose est sûre, je n’aurais pas dut. Maintenant je dois attendre qu’elle passe à mon appartement pour la voir librement.

Appartement dont je me rends compte que je n’en ai pas parlé. Alors voilà, en rentrant d’Europe je me suis un petit peu fâché avec mon père, si bien que j’ai du faire une croix sur son aide pour payer le loyer (non pas que je ne puisse me permettre d’avoir un logement, mais avec son argent, je pouvais avoir un truc vraiment huppé). J’ai donc pris un petit appart’ dans l’Upper West Side, ce qui est plutôt pratique puisque les commères viennent rarement dans ce coin, ce qui est toujours un plus quand on sort avec quelqu’un secrètement. Je prétends lui donner des cours supplémentaires (ce qui n’est pas dure à croire, je n’ai jamais vus quelqu’un d’aussi intelligent jouer autant la cruche en cours, honnêtement) et on passe du temps ensemble. 
Avec Arizona


Oui. Avoir pour copine le « boulet » de votre classe n'est pas ce dont on peut rêver le plus. Avoir pour copine Arizona, ça c'est ce dont un garçon peut rêver le plus en revanche. Je ne me suis jamais trouvé laid et je suis souvent sortie avec des filles qu'on qualifie affectueusement de jolies filles. Là c'était un cran au dessus. Un cran de la taille de L'Empire State Building. Quand j'étais avec elle, je ne pouvais pas être plus heureux. Entre elle et la découverte des pokémons je choisis Arizona à chaque fois (et pourtant Dieu sait que j'ai toujours rêver d'avoir un Salamèche comme « animal de compagnie »). Ça vous donne un certain aperçu de ce que je ressentais pour elle. Pourtant l'obligation de se voir en cachette n'était pas forcément facile. Et chercher pendant plus d'une heure la moindre bonne réponse me permettant de passer sa note de 2 à 2,5 était rapidement frustrant.
Mais on continuait. On se fichait du reste. Moi en tout cas. J'étais content avec elle. Je l'aimais. Je l'aime (mais on y reviendra plus tard). Alors que tout semblait aller bien, elle a tenté de mettre fin à ses jours. Comme ça. Quelques jours auparavant ma mère l'avait rencontrée. Elle avait tenté de faire la morale à Arizona mais j'étais intervenu pur défendre ma dulcinée. On était partit en voiture. Heureux, joyeux. Elle était tout pour moi. Je n'étais qu'un enquiquineur à qui elle demandait de la laisser se vider de son sang. Je n'étais rien. Ou bien j'en étais la cause. Elle ne s'est pas vraiment expliquée. Je ne lui en ai pas vraiment laissé l'opportunité. J'ai attendu qu'elle aille mieux avant de rompre. On voyait qu'elle n'était pas heureuse avec moi...


Vous vous demandez sa réaction ? Si elle a accouru pour se remettre avec moi ? S'il y a eu la belle déclaration d'amour pour qu'on se remette ensemble pas vrai ? Une fin à la Disney. Comme dans Mulan quand Shang revient pour la revoir alors qu'elle est partie selon la volonté de Shang. Elle a demandé à changer de classe. Ne plus m'avoir comme professeur. Je ne l'ai plus jamais croisé pendant les cours, jamais après. Parce que c'est comme ça dans la vraie vie. Bien sûr Disney ne montre pas le prince en pochtron au bar à pleurer sa princesse, c'est moins vendeur qu'une happy ending. C'est pourtant ce qui m'arriva.


Heureusement j'avais Aloysius pour me soutenir. Je ne pouvais pas lui dévoiler l'identité d'Arizona (je pouvais être viré si quelqu'un l'apprenait) mais je lui en parlais. Je parlais de la rupture. Que je regrettais, qu'elle me manquait. Il me réconfortait en me disant qu'elle n'en valait pas la peine, qu'il y en avait plein d'autres. Je me rappelle, hier encore on en parlait, une bière à la main.
« Nan mais ce n'est pas n'importe qui cette fille. Imagine la femme la plus belle que tu n'aies jamais vu. Plus radieuse que n'importe quelle actrice. Avec des yeux qui rendrait jaloux l'océan.
-Crois moi, j'imagine parfaitement, me répondit-il.
-Pourquoi je ne peux pas la rendre heureuse ? Me lamentais-je.
-Écoute, elle n'en vaut pas la peine ok ? Ce n'est pas la première fille sur laquelle tu craques, ce ne sera pas la dernière. Laisse la tomber. Tourne la page.
-Tu crois qu'elle a tourné la page ? Qu'elle a quelqu'un d'autres ?
-Je ne pense pas. En tout cas ça doit être un sacré bouffon comparé à toi. Et si on trouve qui s'est (il était sacrément éméché alors qu'il parlait aussi sa timidité était un peu à l'écart et il commençait à partir dans les tours. Tout ça pour me réconforter.) je lui botterait les fesses. »
Il s'arrêta. On se regarda pendant quelques secondes avant qu'il rajoute : « ok, je le tiendrait et tu le tapera. »
A ce moment là nous éclatâmes de rire. Alyosius. Un ami en or. Mais il ne comprend pas. Comment pourrait-il ? Jamais il n'a vu Arizona, l'a senti se blottir dans ses bras, l'embrasser. Me voilà, ce matin, avec un gros mal de tête mais les idées claires. Je ne veux qu'elle. Je ne compte pas rester sur ma sad ending. Je veux pouvoir chanter sous la pluie d'amour et de joie, comme Nalla aller rechercher son amour Simba dans le désert. Je veux, à l'inverse de Jack Dawson, combattre le froid, et remonter à la surface pour vivre à jamais avec Rose. Je veux être debout devant ma Juliette quand elle se réveillera. Je veux reconquérir Arizona.



Bon, il doit rester quelques coins d’ombres dans ma vie, mais je sais que dans une ville où sévit comme ça une personne telle que Gossip Girl, je suis malheureusement presque sûr que certains de mes secrets apparaîtrons au grand jour (après tout, on ne peut être aussi beau et intelligent sans quelques zones d’ombres dans sa vie, pas vrai ?) 


Dernière édition par Tyler M. Lawson le Jeu 12 Mar - 0:28, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar

Invité


information
My life

Tyler Lawson Empty
MessageSujet: Re: Tyler Lawson Tyler Lawson EmptyMer 11 Mar - 18:16

Citation :
Après moi comme dans Grease, je parie sur le camps de Danny Zuko
Mec, je t'aime :mdr: T'as des références excellentes et une façon de les tourner dans tes phrases qui m'achève à chaque fois :mdr:

Citation :
◮ penses-tu avoir des amis sincères ? Un en particulier. Aloysius. Un vrai ami. Comme Chewbacca avec Han Solo ou Roméo avec Mercusio. Je sais que je peux lui faire confiance, il ne me fera jamais de tord, ne me trahira jamais. Le meilleur pote possible!
... ... ... (tu cherches à faire culpabiliser Aloys, c'est ça ? :mdr: ) J'espère que c'est toi Chewie quand même :mdr: J'accepte que tu sois Roméo, ceci dit :mdr:

Bref, j'vais arrêter de citer ta fiche sinon j'suis encore là demain :mdr:
REBIENVENU TYGROU nyuh nyuh nyuh Tu sais déjà tout à propos de la maison et du combien je suis contente que tu sois reviendu nyuh
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar

Invité


information
My life

Tyler Lawson Empty
MessageSujet: Re: Tyler Lawson Tyler Lawson EmptyMer 11 Mar - 19:41

Re-Bienvenue nyuh
Bonne continuation pour la suite Wink
Je suis trop contente de te ravoir parmi nous Smile
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar

Invité


information
My life

Tyler Lawson Empty
MessageSujet: Re: Tyler Lawson Tyler Lawson EmptyMer 11 Mar - 19:47

REBIENVENUE TYTYYYYYYYYYYY I love you
J'ai hâte de lire la suite de ta fiche Razz
On va bien rigoler en rp I love you
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar

Invité


information
My life

Tyler Lawson Empty
MessageSujet: Re: Tyler Lawson Tyler Lawson EmptyMer 11 Mar - 21:57

Merci les gens I love you c'est si bon de revenir parmi vous. Vous m'avez tant manqué!
Alors Luu' dans mon esprit Aloys est Chewie et Roméo. Chewbacca parce qu'il est en retrait et Roméo parce qu'il va jusqu'à tuer Tybalt pour venger son ami Mercutio Wink (mais c'est bien que tu ai remarqués Razz )
Je finis ma fiche dès que je peux. (très bientôt normalement)
Pour ce qui est de l'histoire, c'est la même qu'avant pour l'instant, je mettrais un petit signe pour que vous sachiez ce qui est nouveau Smile
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar

Invité


information
My life

Tyler Lawson Empty
MessageSujet: Re: Tyler Lawson Tyler Lawson EmptyMer 11 Mar - 22:13

Re bienvenue à toi
C'est un plaisir de te revoir parmi nouuuuus
Bon courage ♥
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar

Invité


information
My life

Tyler Lawson Empty
MessageSujet: Re: Tyler Lawson Tyler Lawson EmptyJeu 12 Mar - 18:57




Félicitation ! Tu as le droit d'être la cible de GG désormais !

(Ah mais c'est que tu réfléchis à tout même en faisant des références Razz Bref, avec l'accord d'Aridité, j'ai le grand honneur de te valider mon chou *-* Un admin passera rapidement pour t'accorder ta jolie couleur :heart2: )

On attendait plus que toi mon petit. nyuh En premier lieu, va recenser ton avatar puis ton prénom si tu le souhaites. Ensuite, viens prendre connaissance du système de points. T'as eu 15 points gratos rien qu'en postant ta présentation, c'est pas beau ça ? Tu peux également poster tes petits liens et ta demande de topics. Tu peux désormais rp et flooder et te promener sur le fo comme bon te semble. Je suis ravie de voir que tu es enfin dans la grande famille de GG.
Si tu as une question, n'hésite pas, tu as au moins 7 personnes pour te répondre.
Amuse-toi bien mon petit chat :reed nyuh coeur

Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé




information
My life

Tyler Lawson Empty
MessageSujet: Re: Tyler Lawson Tyler Lawson Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Tyler Lawson

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Corbeille :: Gossip Girl The Return 1.0 :: SOS personnage oublié-